1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 652)


    Datte: 12/02/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... plus, à son plus grand plaisir. - C’est bien la pute, tu sais retenir tes souillures ! Madame Marie regarda le soumis penaud et frustré tout en lui tenant fermement les couilles, les triturant même… - Elles ont pris un beau volume tes burnes, bien que pleines, elles sont devenues très souples et bien distendue. Le travail exercé sur elles, au cours de ton stage à la Slave Académie a produit un bel effet, elles sont désormais bien pendantes d’entre tes cuisses, ne trouves-tu pas le chien ? Il était vrai que les exercices imposées sur ses burnes, pendant ces deux mois passées en cette Noble Académie, les lui avait étirées et bien allongées, soumis Endymion MDE ne pouvait qu’acquiescer. Alors Madame Marie pensait qu’il fallait absolument poursuivre ce traitement, lui vint alors une idée. - Reste ainsi chien, je reviens ! Lorsqu’elle réapparue, elle tenait en mains quatre fines tiges de bambou, d’une soixantaine de centimètres de long. Elle demanda à Endymion de poser son torse sur la table en inox et d’écarter largement les jambes. A peine fut-il en position qu’il sentit une main lui saisir les couilles, les tirer vers l’arrière et les lui remonter sur sa raie anale. D’un geste rapide et précis, elle coinça les burnes du soumis MDE entre les deux tiges de bambou. Avec des morceaux de caoutchouc élastiques, elle fixa les tiges, tenues derrière les cuisses, les faisant tenir entre elles, tout en comprimant et en étirant par l’arrière, le scrotum du chien soumis. - Redresse toi ...
    ... maintenant salope. Endymion MDE eut bien du mal à respecter l’ordre donné, il lui était impossible de tenir parfaitement droit, tant son sac était maintenu étiré par derrière les jambes. Madame Marie, pourtant exigea vicieusement qu’Endymion MDE se redresse plus encore et qu’il lui présente sa nouille, maintenant semi-bandée. Elle tira sur le prépuce pour bien dégager le gland, et lorsque celui-ci vous fut entièrement découvert, elle posa les deux autres tiges de bambous juste à la base du dit gland et les fit tenir entre-elles de la même manière que celles enserrant ses couilles. Les quatre tiges de bambous furent attachées par deux liens de part et d’autres des cuisses de l’esclave MDE. La contrainte était terrible, mais agréablement jouissive sur le plan mental, tant le soumis MDE se sentait tenu fermement et par les couilles et par la bite. Madame Marie semblait très perversement heureuse elle aussi, fière de cette belle réalisation : - Une cage de chasteté différente de celles que tu portes habituellement le chien, peut-être un peu plus encore contraignante, mais certainement plus encombrante ! (elle se mit à rire). En en plus avec un avantage certain… celui de te faire tenir quelque peu incliné vers l’avant, dégageant bien ton cul salope, ainsi prêt à te faire enculer à tout moment, n’est-ce pas la pute ? Madame Marie était d’une perversité sans nom, elle exigea qu’Endymion MDE travaille près d’elle ainsi affublé, pendant toute la préparation du repas, et lorsqu’il eut ...