1. UNE SEMAINE DE VACANCES 2/2


    Datte: 10/07/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... rapidement trempés. La robe de Sandra, est collée à son corps, dessinant ses seins qui pointent sous l’effet de l’eau froide. Dès que nous trouvons un endroit plus sec, je me rapproche d’elle et lui caresse les seins. J’ai oté mon polo, et elle pose ses mains sur mon torse. « Tu vas attraper un rhume, avec ces vêtements mouillés » lui dis-je Sans attendre de réponse je défais, un à un les boutons de sa robe, qui finit par s’ouvrir complètement sur sa peau bronzée. Elle frissonne et se serre contre moi, alors que je la frictionne vigoureusement, puis de plus en plus langoureusement. Je prends ses seins dans ma bouche, en tête les bouts dressés, les réchauffe en les léchant. Elle ronronne comme une chatte sous mes mains . J’en profite pour la défaire de sa culotte de dentelle noire détrempée, et masse ses fesses, qui finissent par s’écarter, laissant mes doigts atteindre son calice, et sa vulve humide, mais chaude, cette fois. Sandra se dégage de sa robe, qu’elle étale , à plat sur des rochers secs, pour la faire sécher. Elle est nue à l’exception de ses nus-pieds à talons hauts, et je me dis que n’importe qui pourrait nous surprendre, mais heureusement la marée dissuade les promeneurs. Tandis qu’elle arrange le tissu sur la roche, je viens me coller à son cul somptueux, et elle pousse un léger cri, au contact de mon pantalon, humide et froid.. Elle passe les mains dans son dos, et vient tirer mon pantalon vers le bas, dégageant ma queue déjà bandée. Elle s’en saisit et la ...
    ... branle un peu avant de la diriger vers sa grotte intime. Mon gland, au contact de ses chairs douces et chaudes, palpite et d’un coup de rein, je m’enfonce en elle jusqu’à la garde. Par contraste avec la température extérieure, j’ai l’impression que son conduit est brûlant. Je la saisis par les seins et balance mes reins d’arrière en avant, au rythme de ses hanches, mon pubis venant rapidement taper régulièrement sur ses fesses rebondies. Petit à petit, nous faisons abstraction de l’environnement pour nous concentrer sur notre plaisir. Le côté impromptu et le danger d’être surpris, exacerbent nos sens. Sandra, se tord sous mes mains, se donnant sans retenue , exprimant son plaisir par des gémissements, et des ahannements sans retenue. Sandra pousse son postérieur en arrière, et je la prends par ses hanches pleines pour mieux la pénétrer. Le tempo de notre baise sauvage s’accélère et elle vient empoigner mes couilles, entre ses jambes, en hurlant son orgasme, au moment où le mien se déclenche. Nous restons ensuite, soudés l’un à l’autre de longs moments, avant de nous séparer dans un éclat de rire. « J’avais envie, mais quand même ! on est des bêtes. » reconnaît Sandra. « Si un passant était arrivé, il aurait cru que j’étais un client avec une pute » « Mufle ! « rétorque t’elle Elle enfile sa robe qui a, à peine séché, et la reboutonne, pendant que je me refroque. Nos vêtements sont humides et froids. Nous nous dépêchons de rejoindre notre voiture. Nous y trouvons, un imperméable ...
«12...567...20»