Réveil des sens
Datte: 13/02/2018,
Catégories:
fh,
extracon,
copains,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
fgode,
... la seule chose qui le soulage est de se masturber, motivé par les gémissements de Patricia autant que par les bruits de succion du gode qui la pilonne. C’est comme s’il avait une vie propre, elle ne sent pas les mouvements de sa main, seulement ceux, de plus en plus forts du vibro. La pression de sa vessie pleine se fait sentir de plus en plus, aussi se retenir rend la tension de la masturbation terrible. Elle va de plus en plus vite, de plus en plus fort, accompagnée par la main de Philippe qui tient le rabbit, dans sa tête, mais dont la masturbation devient si rapide que les mouvements en sont flous. Même sa langue sort un peu de sa bouche, comme si elle pouvait goûter ce gland gonflé, trempé de liquide séminal. Et dans sa frustration de ne pas pouvoir le faire, elle se venge en se martyrisant la chatte encore plus avec le phallus en silicone. Son autre main a depuis un moment trouvé chemin entre ses fesses pour se titiller l’anus, un doigt, puis deux, puis trois jouant à cache-cache avec les yeux de l’hormone mâle à deux mètres de là. Philippe halète, il a du mal à se retenir, il va exploser. Voir Patricia exposée devant lui, se donnant du plaisir, pour lui, avec lui, presque par tous les trous, c’est plus qu’il n’en a eu ces dernières années. Sa verge est énorme, elle lui brûle la main, elle palpite de sa vie propre. Ils ne respirent même plus, en apnée tous les deux dans une course au plaisir. Tel l’arrêt d’un cœur qui bat sur un électrocardiogramme à cause d’une trop ...
... violente montée de son rythme, au même instant exactement ils explosent. Lui giclant comme jamais, s’arrosant le ventre, les mains et même un peu sur le fauteuil et autour de lui. Elle s’enfonçant en même temps le gode dans le vagin et les doigts dans son anus, expulsant des jets de cyprine mêlés d’un peu d’urine débordant de sa vessie pleine. Cependant, à aucun moment ils n’ont fermé les yeux, à aucun moment ils n’ont crié. Tous les sens en éveil pour absorber le plus possible le plaisir de l’autre, renforçant en feedback son propre plaisir, la jouissance qui s’amplifie à cause et grâce à celle de l’autre, encore et encore montant sans vouloir redescendre, tous les muscles du corps tendus à rompre. Et puis c’est le relâchement général, brut, sans graduation, les corps qui s’effondrent. Dans un geste fiévreux, Patricia arrive à se lever, pantelante, sautant presque sur Philippe, s’asseyant sur son ventre sans s’occuper de sa verge encore turgescente, pour frotter maladivement son sexe inondé et béant sur le sperme étalé. Un besoin physique intense, sans raison logique. Un geste purement animal, les sécrétions des deux partenaires se mélangeant dans un espoir de fécondité désespérée et sans issue. Elle ondule du bassin tant qu’elle part pour re-jouir une nouvelle fois. Le choc répété de ses fesses sur le gland de Philippe le rend immédiatement ultrasensible et le plaisir remonte en flèche. À tel point que c’est en quelques secondes une nouvelle extase pour les deux. Jouissance ...