Réveil des sens
Datte: 13/02/2018,
Catégories:
fh,
extracon,
copains,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
fgode,
... depuis longtemps, mais quand même. L’attitude de Patricia pouvait prêter à confusion. Pourtant il la connaissait et savait qu’elle pouvait être très nature. Discuter franchement sur le sexe comme sur autre chose, jouant avec les mots mais sans forcément avoir d’arrière-pensées, juste provoquer. Sa femme et lui furent un peu surpris au début mais se mirent vite dans l’ambiance. Les discussions de fin de nuit au bout d’un long repas bien arrosé avaient permis bien des échanges sans aucun fard. Pourtant nulle ambiguïté n’était venue troubler les discussions. Il en était à ces réflexions lorsqu’il retourna dans la maison, en ayant définitivement terminé dans le sauna qui leur sert de garage. Patricia venait justement dans sa direction. — J’allais t’appeler, le déjeuner est prêt. Donne-moi ta combinaison de suite, je vais aller la laver comme ça tu rentreras chez toi elle sera propre et sèche. Avec cette chaleur…— Il est midi non ? Quelle température on a dehors ? C’est de pire en pire.— Sur la terrasse, à l’ombre, il fait 39. J’ai hésité à mettre la table dehors, mais il n’y a pas un seul brin de vent. Dans la maison j’arrive encore à créer un semblant de courant d’air avec les ventilateurs. Bon, tu me la donnes cette combinaison ?— Si tu me laisses aller dans la salle de bain au lieu de me boucher le chemin je te l’aurais déjà donnée.— Tu peux l’enlever ici, dit-elle volontairement provocante. Si c’est de te montrer à poil devant moi qui t’inquiète, ne t’en fais pas, je t’ai ...
... vu tout à l’heure lorsque tu te changeais.— Haaaa tu as donc de l’avance sur moi alors, répondit Philippe en rigolant. Et dire que je me reprochais presque d’avoir vu ce que tu caches sous ton peignoir en fait j’avais même du retard.— D’abord, toi tu n’as pas TOUT vu, ensuite on va dire un point partout.— Je te prends au mot, mais il faut quand même que je prenne une douche, je ne dois pas sentir bon avec tout ce que j’ai transpiré dans le four où tu ranges tes voitures. Philippe ouvrit et enleva la combinaison devant elle. Rapide, mais sans timidité ni effeuillage. Il lui tendit et elle la prit immédiatement, le regardant de bas en haut, puis dans les yeux avec le sourire. Il avait de la chance, pas d’érection, mais malgré tout son sexe était raisonnablement gonflé. Lorsqu’elle se retourna pour l’emmener dans la buanderie elle poursuivit : — Je vois que tu as fini de jouer au yoyo, tu as raison ça finirait par te fatiguer à ton âge.— Dois-je te rappeler que mon âge est également le tien ? Fais attention ton palpitant risque de ne pas tenir le choc à me voir ainsi.— Ne t’en fais pas pour mon cœur qui va très bien et va plutôt te décrasser tu empestes ma maison alors que je viens de la nettoyer. Je t’ai préparé une serviette sur le bord de la cabine de douche et prends le gel douche que tu veux, sauf le bleu. C’est le sien et je n’aime pas son odeur. L’entendre parler ainsi de Matthias lui parut étrange. Il est encore son mari, quand même ! Direction salle de bain. Prendre une ...