Réveil des sens - Histoires de Sexe

Réveil des sens

... jamais vu à poil pour dire ça. Je ne sais pas ce que sa pouffe lui trouve, une chose est certaine, ce n’est pas pour sa bite qu’elle couche avec. Rien à voir avec toi par exemple.— Arrête, déjà tu n’as quasiment rien vu de moi, ensuite je t’assure que je suis très dans la moyenne, vraiment je n’ai rien à avancer de ce côté-là.— Ah ? Je t’assure que ce que j’ai vu est largement plus que ce que j’ai eu dans le cul pendant toutes ces années.— Tu deviens grossière quand tu bois.— Oui ? Oui, peut-être. Mais je m’en fous. Il n’y a que toi pour m’entendre de toute façon et ça ne m’arrive jamais donc tu n’as rien entendu. Dessert ? C’est de la glace vanille, faite maison avec de la vraie vanille et de la vraie crème fraîche.— Parfait ! Si ça peut aider à supporter cette chaleur, c’est pas possible il doit faire au moins 45.— 42 dedans, je viens de regarder. Alors imagine dehors. Ouvre une autre bouteille pendant que je vais servir. Ils se lèvent ensemble, sauf que la serviette de Philippe ne veut pas suivre le mouvement. Il se retrouve nu debout et Patricia se mit à rire. — Attention je ne me moque pas de toi, mais je t’assure que j’ai raison en disant que tu es largement mieux pourvu que lui.— Vas-y rigole, dit Philippe en rattachant en urgence la serviette fautive, mais tu devrais te regarder. En effet la ceinture du peignoir n’est plus attachée et laisse les deux pans largement ouverts. — Je me disais bien que je sentais un peu le frais, pouffa-t-elle en se rattachant.— Tu me ...

... les montreras ? demanda Philippe en ouvrant la bouteille.— Quoi donc ? Mes seins ? Tu viens de les voir, cochon ! gloussa Patricia en portant les mains à ses seins, non pas pour les cacher, mais pour les prendre et les soupeser.— Non… Tes jouets… Ils se regardèrent sans rien dire un quart de seconde, sans rire. — D’accord, je te montre ça tout à l’heure, souffle-t-elle rapidement, un vrai rose aux joues et en filant dans la cuisine. Philippe se demande ce qui lui a pris de demander ça. Comment a-t-il pu oser ? Heureusement qu’elle ne l’a pas rembarré, elle en aurait largement eu le droit. Il a dû trop boire. Il ne se tient jamais comme ça d’habitude. Mais là, c’est autre chose. L’ambiance, l’alcool, il n’en a même pas honte. Lorsqu’elle revient, une assiette à chaque main, les glaces très bien présentées avec langue de chat et feuille de menthe fraîche. Philippe est surpris. La ceinture était de nouveau détachée et le peignoir largement ouvert — Tu te laisses un peu aller non ?— En fait, je me suis dis que c’était mieux comme ça. Ça met dans l’ambiance et il fait trop chaud.— Autant ne rien mettre dans ce cas.— Ha non ! Toi tu as ta serviette.— Mmm ta glace est délicieuse, ça fait vraiment du bien. Si tu es gênée par ma serviette, je peux l’enlever. Philippe repose sa cuillère, vide d’un coup le fond de son verre histoire de se donner du courage en se levant et enlève sa serviette qu’il plie puis dépose en prenant son temps sur le dossier de la chaise. Il se rassoit lentement, ...