1. Réveil des sens


    Datte: 13/02/2018, Catégories: fh, extracon, copains, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation fgode,

    ... tout en regardant Patricia dans les yeux, provocant. Silencieuse, elle répète presque geste pour geste les mêmes actions. Cuillère, verre, pliage du peignoir, le pose et se rassoit. — Je veux bien un peu de vin s’il te plaît. C’est étrange plus je suis nue, plus j’ai chaud. Le repas se finit doucement, ils parlent, rigolent, nus. Ils débarrassent la table ensemble, rien, s’observant, mais évitant de se toucher. — Philippe, tu fais le café, s’il te plaît ? Sers-le dans le salon, j’arrive. Elle s’éloigne et monte les escaliers sans quitter Philippe du regard, exposant sa féminité. De son côté, il la regarde, le sexe visiblement gonflé, mais sans érection. Sans poser de question, il part faire le café. Il évite surtout de penser. Il ne se reconnaît pas. Lui qui est d’un naturel si pudique. Nu, avec une femme nue. D’accord il n’est pas Apollon et elle ne ressemble pas plus à Vénus. Ils ne sont pas moches, juste quelconques. Ils portent leur quarantaine, sans plus, ne sont pas de grands sportifs, mais à ce stade-là, ils s’en foutent. Il n’a pas vraiment envie d’elle et doute très fortement qu’elle-même a envie de lui. Ils ont juste envie et besoin d’être bien, sans barrière. Il sert les cafés et s’installe dans un des fauteuils en cuir du salon de façon à pouvoir la voir arriver. Des fauteuils très confortables et profonds. Heureusement qu’il y a un petit tissu dessus sinon il resterait collé par la transpiration. Dans sa position il peut difficilement cacher son sexe, mais ...
    ... il n’en a pas l’intention non plus. Il l’entend revenir de sa chambre. Elle descend les marches en tenant un petit sac à dos. — En haut, la chaleur est pire que je ne le pensais, pourtant j’ai fermé tous les volets et ouvert les fenêtres.— Quel idiot je fais ! Je n’ai pas pensé à fermer ceux du bas.— Ne t’en fais pas, je n’y ai pas plus pensé et je te rappelle que je suis chez moi. Sur ces mots elle s’approche d’un mur, appuie sur un bouton et tous les volets roulants se fermèrent lentement. Les pièces s’assombrissent, ce qui n’est pas sans donner un joli effet intimiste qui colle parfaitement à l’ambiance. Ambiance chaude, lourde et moite. Mais ambiance apaisante, confortable et surtout désirée par les deux acteurs de cette scène. Sans parler, elle s’approche de la table basse pour y faire l’échange de son sac avec la tasse de café sans quitter Philippe des yeux. Ses gestes sont lents et calculés, se pencher en avant, les jambes bien droites, se relever avec sa tasse, faire demi-tour pour aller vers le second fauteuil en face. Bien se montrer. Se baisser face à lui pour s’assoir tout en regardant la verge qui grossissait un peu plus. Effet mal calculé, au lieu de ne poser que le bord des fesses sur l’assise, elle s’effondre au fond du fauteuil. Elle-même surprise, elle réussit avec un mouvement autant héroïque que ridicule de ne pas se renverser dessus le contenu de sa tasse. Par réflexe, Philippe se lève immédiatement vers elle pour lui porter secours. Comme il n’y a pas ...
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