Christine...
Datte: 14/02/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
extracon,
fépilée,
Collègues / Travail
vengeance,
chantage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
Je me présente Henri S, 57 ans, directeur d’agence. D’agence de quoi ? Si on vous le demande, évacuez le sujet. J’ai toujours pensé que le sexe était un rapport de force. Que l’amour était un rapport de force. Que la vie était un putain de rapport de force. Je me suis fait avec les poings puis avec la gueule. Je ne suis pas ce qu’on appelle communément un beau mec. Mais reconnaissons que j’ai un certain charme, un truc à moi, quelque chose d’animal, m’avait dit une ancienne maîtresse. Soyons clairs, je n’ai jamais eu de problème pour trouver une fille pour la nuit. Pour une semaine. Pour un mois. Après, rapidement, ça devient désagréable. Pour de multiples raisons que je n’évoquerai pas ici. Si je me décide à m’épancher de la sorte, c’est que mon boulot m’ennuie et que j’ai du temps maintenant. Beaucoup de temps. Cette histoire s’est passée il y a dix ans maintenant. Le temps passe vite. Surtout à mon âge. J’ai l’impression que c’était hier. Christine venait d’entrer dans l’entreprise. Brune, élancée, bien faite. Le genre qui fait se retourner les hommes. Le genre qui me fait me retourner, moi. Vous aimeriez que je la décrive un peu mieux, que je m’acharne sur tous les détails. Les yeux, la bouche, le sourire, ce genre de conneries. Très peu pour moi. Elle était sacrément bonne, retenez simplement ça. Gaulée comme un S ou un B contorsionné. C’est vous qui voyez. Des seins lourds qu’elle mettait discrètement en valeur, un cul à se damner. Du genre qui est interdit au commun ...
... des mortels. Et un méchant panneau-stop en guise d’alliance à son annulaire gauche. Ce n’était pas une de ces pétasses qui font vibrer les chaises. Cette fille donnait envie de la baiser mais n’incitait pas à le faire. Un mec devait s’occuper d’elle à la maison et à son sourire épanoui quand elle arrivait à l’agence, nul doute qu’il s’y prenait bien. Enfin, c’est ce que je pensais en la regardant par la grande glace de mon bureau s’installer chaque matin à sa place. Deux enfants, la trentaine décomplexée. Jupe droite, talons hauts, chemisier fin. Ces seins. Par les démons ces seins étaient un appel au sexe. Plus je la regardais et plus je me disais que jamais je n’avais eu une fille de ce calibre dans mon lit. Entendons-nous, je l’ai dit, je n’étais pas un moine, mais je faisais ce que je pouvais. Mon genre de femmes, ce n’étaient ni les blondes, ni les brunes, ni les grandes, ni les petites, ni les grosses, ni les maigres. Mon genre, c’étaient celles qui voulaient bien. Je ne faisais pas le difficile. C’est le monde comme il est. L’offre et la demande. Et je n’étais pas une multinationale. Je l’avais recrutée. CV intéressant mais enfin, vous devinez bien ce qui avait pu me passer par la tête. Et quand un bon mois fut passé, je me demandais bien pourquoi j’avais fait une telle connerie. C’est bien simple, je n’arrivais plus à me concentrer. Je l’appelais pour des détails infimes, lui demandais de revoir tel ou tel dossier. Mais c’était pour le plaisir de la frôler, sentir ...