Christine...
Datte: 14/02/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
extracon,
fépilée,
Collègues / Travail
vengeance,
chantage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
... existence. Christine faisait des heures sup’, Christine voulait me faire viser quelques dossiers. Christine approcha son joli cul de mon bureau. Elle se penchait. Me frôlait. Et l’absence d’attirance qu’elle ressentait à mon encontre me rendait encore plus dingue. J’avais mal tellement je bandais. Je dis oui. Je dis « Ok » sur ce dossier. Je dis « Ok » sur ce dossier aussi. Elle s’apprêtait à partir lorsque ma volonté céda totalement. Je lui demandai d’attendre encore un peu, de fermer la porte et de venir s’asseoir. J’avais des choses à lui dire. Elle sembla étonnée mais bien moins que lorsque je lui tendis les mails. Elle les lut, effarée, et les déchira. — J’en ai d’autres, soufflai-je, un brin satisfait.— Que me voulez-vous ?— Que du bien, ma belle. Elle se mit à pleurer. Je me levai et passai derrière elle, fermant la porte à demi-tour et baissant les persiennes. Dernier regard au-dehors. Bureau déserté. Mobilier triste. Je m’approchai de Christine qui continuait de sangloter. — Allons, allons, soufflai-je à son oreille. Il n’y a rien de grave. Je sais que c’est du chantage, je sais que ce que je fais est totalement illégal. Mais je sais aussi que vous ne voulez pas perdre votre mari ni vos enfants, non ? Je sais aussi que je suis votre genre, non ?— Non, gémit-elle.— Peu importe. Je te désire Christine, depuis le premier jour où je t’ai vue. Jamais tu ne rencontreras un homme qui a autant envie de toi. Jamais un tel désir ne te sera offert. Je m’enflammais, je m’en ...
... rendais compte mais il se passait quelque chose d’étrange. Elle était comme soumise et, tandis que j’approchais mes mains de sa nuque, que mes doigts jouaient sur sa peau et que je déboutonnais lentement les boutons de son chemisier, grisé par son silence, que voulez-vous, je m’emportais. — Je te veux toute entière.— Faites ce que vous avez à faire. Et laissez-moi tranquille ensuite. Ma main gauche avait agrippé un sein lourd et doux, je jouai avec la pointe, enserrai le globe dans ma paume. J’ôtai son chemisier, dégrafai son soutien-gorge transparent. Tétons foncés, larges aréoles, je fis tourner le fauteuil vers moi. Me jetai sur ses seins comme un affamé. Je les léchai, les dévorai. — Oh, comme j’ai envie de te baiser Christine. Comme j’ai envie de te sentir. Entre mes bras, elle restait distante mais pas insensible. En fait, elle s’était arrêtée de pleurer et me regardait étrangement. Cela m’excita encore plus. Je me relevai et me plaçai devant elle. Sortis mon sexe tendu, me branlant doucement devant sa bouche. — Suce-moi chérie, suce-moi bien. Je fis durer le moment. Je le fis durer au maximum. Je regardai sa bouche s’activer sur ma queue, jouer avec le prépuce, s’amuser avec mes grosses couilles. De temps à autre, ses doigts s’activaient sur ma tige. — Tu fais ça bien, Christine, continue. Elle avait du mal à la prendre entièrement, je ne me gênais pas pour accompagner ses mouvements. Je ne me gênai pas pour lui dire. Elle gémissait doucement en me pompant, ce qui me ...