Elle n'est pas qu'à moi (1)
Datte: 15/02/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Mélanie, ma copine, et moi étions ensemble depuis quelques mois quand nous avons décidé de vivre sous le même toit. Mélanie avait 21 ans, c’était une belle blonde aux cheveux courts. Elle mesurait 1m60 avec une belle petite poitrine (90b). Je le savais, elle était la femme de ma vie. Quelques temps après notre installation, elle invita un copain à venir dormir à la maison après sa rupture. Rodrigue, le copain, était plus âgé qu’elle. Il devait avoir une petite quarantaine d’année. A mon grand étonnement, il ne semblait pas vraiment perturbé par cette rupture et c’est un homme enjoué que nous avons accueilli. Lorsque le soir fut venu, nous l’avons installé dans le canapé et avons rejoint notre chambre. Mélanie semblait particulièrement tendue, ce qui ne m’a pas empêché de commencer à la câliner mais sans succès. « Qu’est-ce qu’il t’arrive ? Tu as l’air inquiète ? Lui ai-je demandé. — Une peu… Il est juste à côté. Il vient de rompre et j’ai peur qu’on le perturbe à faire… enfin, tu vois… — Je comprends mais on peut être discrets, non ? — Si… si tu veux… Mais pas trop long alors. » Doucement, j’ai commencé à lui caresser le petit bouton pendant qu’elle me faisait durcir de sa douce main. En quelques minutes, nous étions tous les deux fin prêts pour la suite. Elle se tourna doucement et je pus prendre place en elle. La cuillère est l’une de ses positions favorite. Bien placé, j’en profitais pour agacer ses tétons que je sais sensibles. Mélanie commençait à pousser de jolis ...
... soupirs de plaisir qu’elle essayait sans succès de contenir. Elle me suivit sans hésiter quand je me suis mis sur le dos. Elle m’enjamba et plaça mon sexe dans le sien. Elle me chevaucha avec fougue tandis que je caressai son anus qui s’ouvrait sans difficulté. J’espérai bien avoir droit à cette petite friandise qu’elle m’accorde de temps en temps. Tout à notre plaisir partagé, nous ne nous sommes pas rendu compte que la porte de notre chambre s’était ouverte. « Je vois qu’on s’amuse bien ici, lança Rodrigue. — Mais qu’est-ce que tu fous là ? Ai-je répondu, franchement énervé. — Je viens prendre ma part. — Ta part de quoi ? Fous le camp de là ! — Non, laisse-le faire… Je te promets de t’expliquer… me supplia Mélanie. » Je pensais qu’il allait se contenter de regarder mais il s’approcha du lit. Il se déshabilla et nous rejoint sur le lit. Il retira ma main de l’anus de Mélanie et y plaça son sexe. D’un coup, il poussa et entra entre ses fesses. Je sentais son sexe dans l’anus de ma copine. Nous avons commencé à la besogner de concert. J’étais gêné mais visiblement moins que Mélanie qui me regardait perdue malgré son plaisir bien visible. Rodrigue lui tourna la tête et l’embrassa à pleine bouche. Ce baiser, Mélanie l’accepta un peu contrainte. « Elle est toujours aussi bonne cette petite pute, rigola Rodrigue devant mon air hébété. » Après quelques minutes de ce traitement, Rodrigue finit par être pris d’un orgasme puissant et se déversa dans l’anus de Mélanie. Il se retira en lui ...