1. Elle n'est pas qu'à moi (1)


    Datte: 15/02/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... noires, une mini-jupe d’une blancheur virginale et une chemisier noir en voile sous lequel on pouvait voir ses seins nus. Sur ordre de Rodrigue, Mélanie souleva sa jupe nous montrant ainsi un minuscule string noir. « Je confirme. Elle me plaît vraiment comme ça. Une vraie petite pute habillée comme une vraie petite pute. Tu en penses quoi ? Me demanda-t-il. — … — Je te comprends. Tu es trop ému et tu dois bander, non ? — Pas vraiment. — Pas grave ! Moi, elle me fait bander cette salope. » Durant toute la matinée, Rodrigue ne se gêna pas pour caresser les seins de Mélanie sur ou sous le chemisier qu’il ouvrait largement par moment. Il passait aussi ses mains sous la jupe de ma compagne jouant ouvertement avec son string. Alors que je vaquais comme je pouvais à mes occupations, je surpris Mélanie et Rodrigue sur le canapé. Mélanie avait le chemisier grand ouvert et les seins qui prenaient l’air. Sa jupe était relevée. Les jambes écartées, elle laissait Rodrigue lui caresser le sexe. La main droite de Rodrigue était sous le string de Mélanie et bougeait sur son sexe. Celui-ci devait déjà être bien humide au vue de la tâche qui commençait à bien se voir. De sa main gauche, il triturait un téton qui était sorti et bien dur. Mélanie, les yeux fermés, haletait doucement. En me voyant, Rodrigue me sourit et se pencha pour parler à l’oreille de Mélanie. Elle rouvrit alors grand les yeux. Rodrigue redoubla l’intensité de ses caresses. Mélanie semblait de plus en plus proche de ...
    ... l’extase mais elle luttait pour continuer à me regarder dans les yeux. Au bout d’un moment, le plaisir fut plus fort et ma compagne jouit bruyamment en me regardant tant qu’elle pouvait. Rodrigue fit lécher ses doigts à Mélanie puis se leva. En passant à côté de moi, il me donna une tape sur l’épaule comme une sorte d’encouragement. Et il me fallut du courage pour supporter le reste de la journée. Rodrigue prit un malin plaisir à tripoter Mélanie dès qu’il en avait l’occasion. Dans le même temps, il ordonna à ma compagne de refuser tout contact avec moi, ce qu’elle fit sans sourciller. Au repas du soir, alors que Mélanie venait de finir de débarrasser la table, il l’entraîna vers lui. Il lui ouvrit le chemisier pour faire sortir ses seins, souleva la jupe et retira son string qu’il me donna. Ce petit bout de tissu était tâché par les différents plaisir pris par ma copine durant la journée. Une forte odeur de sexe s’en échappait. Il la poussa sur la table pour qu’elle écrase ses seins sur celle-ci. « J’adore son cul, lança Rodrigue. Tu l’aimes son cul ? — Oui, il est… — Je m’en fous de ce que tu penses. Son cul est à moi ce soir. » Sans attendre ni même préparer Mélanie, il enfonça un doigt entre les fesses de Mélanie. Celle-ci eut un soubresaut comme surprise par son assaillant. Puis elle se posa de nouveau sur la table en esquissant un sourire. Elle ne semblait plus gênée ni même honteuse envers moi. Elle avait l’habitude de se soumettre aux caprices pervers de cet homme et ne ...
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