1. Telle paire... tel fils. (5)


    Datte: 15/02/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... délit cela me dispenserait-il de me planquer pour en mater à mon tour. Je pouvais y gagner. A la rigueur on pourrait même le terminer ensemble en buvant une bonne bière comme on fait pour les matchs de foot. Mais ce que je vis ne correspondait pas au scénario envisagé. Une femme était allongée sur le canapé. Ses épaules reposaient sur le large accoudoir et sa nuque penchait en arrière. Jambes appuyées au sol, mon père la recouvrait en 69, plongeant sa queue dans la bouche béante et bouffant la chatte allègrement. Ils ne me virent pas de prime abord. J’aurais pu me faufiler en en tapinois mais, fasciné par l’atmosphère torride, je m’approchai. J’avais certes déjà vu papa en maillot de bain, je l’avais même vu semasturber devant ses films X mais comme il était assis de dos, je n’avais vu que son bras astiquer une bite qui m’était demeurée invisible. Papa a un cul rond et musclé. Ses grosses couilles poilues, bien resserrées surplombaient le visage de la femme qui, pour lors avait les yeux fermés. Elle n’était ni jeune ni belle. Je la connaissais. C’était la femme du concierge. Ce dernier partait une fois par mois environ en week-end chasse ou pêche avec des potes. J’avais remarqué qu’il s’agissait souvent des week-ends choisis d’une fameuse chaîne cryptée et je me disais qu’elle était bien naïve de croire ce que son mari lui disait. En fait pas aussi naïve que ça la nana. Je contemplai la femme suçant le bout paternel ; j’ai pas besoin de décrire ce que fait un film de cul sur ...
    ... un gamin de 18 ans, alors la même chose en vrai ! Automatiquement je me mis àbander et à tripoter ma queue tendue sous mon pantalon, impossible de faire autre chose, hypnotisé par cette pipe et le cul de mon père qui s’agitait pour faire bouger la queue dans la bouche. La femme ouvrit les yeux. Elle sursauta déstabilisant mon père. — Jules qu’est-ce que tu fous là ! — J’avais la main dans la poche et je balbutiai n’importe quoi. — Il va rien dire au moins ? Devinant qu’elle craigne que j’aille tout raconter à son connard de cocu, je répondis aussi sec — Non, non, rien ! — Tu devais pas rentrer ! — Non p’pa, c’est Arnaud... j’t’expliquerai... — Bon, ben on fait quoi là ?... tu nous laisses... ou tu te joins ? — Comment ? Vous rejoindre ? Baiser avec vous ? — On va pas se mentir, t’es plus puceau... ou alors tu te branles dans les capotes que je trouve parfois sous ton lit ! Allez, au point où on en est, viens avec nous. T’es d’accord Viviane ? — Oh oui oh oui dit la femme, il a l’air bien pourvu ton môme. Du moment qu’il sait se taire... Je n’eus pas le temps de réagir que la femme se mit à genoux, défit ma braguette et prit mon zob dans sa bouche. La femme aimait la queue en effet et elle se répandait en compliments, nous couvrant de louanges en comparant nos zobs à la petite bite de son mari. Elle était très salope et nous guidait vers ses orifices qu’elle voulut voir tous déchirés. Pendant ma narration (puisqu’on se rappelle que j’étais en train de conter nos exploits à ma ...