1. Telle paire... tel fils. (5)


    Datte: 15/02/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... prof et à son cocu), bien évidemment, Ma prof et son mari nous posèrent des questions. Comment était foutue la meuf, ce qu’elle aimait faire, est-ce qu’elle était endurante... — Moi ce qui m’a frappé d’abord c’est sa grosse paire de nichons. Malgré la présence de p’pa au-dessus je les voyais écrasés sous leur propre poids, débordant par rapport au tronc. — Et la moule ? — Il a fallu que papa arrête de brouter... vachement touffue... la fente large, le biscuit gros comme si ça bandait... — Et le cul ? — Enorme. Un très gros cul. — Et elle est bonne ? C’est mon père qui répondit. — Ouais, elle est très chaude du cul. Elle encaisse bien la bite et elle bouffe tout. — C’est clair qu’à deux on l’a bien prise. — Et ça t’a fait quoi de baiser en même temps que ton père ? — Ben en fait, pas grand-chose... Je l’avais déjà vu en train de se pignoler sur du porno même si j’avais pas vu sa bite... — Quand tu penses que ce petit salopard m’espionnait... — Et puis j’ai vite compris que certains soir, quand il rentrait tard c’était pas par hasard. — Il a même fouillé mon ordi le petit con pour voir ce que je faisais. — T’as fait ça ! demanda le mari de ma prof. — Rien qu’une fois. — Et toi tu disais rien ? dit-il à mon père. — J’y ai vu que du feu, c’est après qu’il m’a tout raconté. — Ouais mais entre voir ton daron se taper une queue et le voir en vrai sur une meuf... — En fait j’étais vachement content pour lui... et fier comme vous pouvez imaginer. En effet, les proportions de papa, ...
    ... bien qu’un peu plus modestes que les miennes, et surtout sa maîtrise des choses de l’amour m’avaient rempli de satisfaction. A constater la virilité du père, on s’en attribue une part en héritage génétique . Il m’avait été facile de juger sur pièce puisque la concierge avait provoqué une double, la première de mon existence, qui lui aurait de toute façon administrée. Elle s’était couchée sur moi, avait attrapé mon nœud et l’avait guidé d’une main adroite directement en elle. J’avais ensuite senti la paternelle verge pousser derrière la fine paroi et j’en avais éprouvé la rigidité. Nous avions varié les positions, joué des sexes des bouches et des mains et j’avais reconnu en tout la supériorité de mon père. D’ailleurs j’avais joui bien avant lui entre les roberts de la grosse dame qui s’était caressée ensuite pour étaler le jus sur sa poitrine. J’avais assisté à la fin du spectacle où après lui avoir cassé le fion une dernière fois dans les règles, mon père lui avait arrosé le visage au grand contentement de chacun. Après son départ, nus sur le canapé, nous avions discuté. — C’est ta maîtresse p’pa ? Avais-je demandé avec un peu d’inquiétude parce que, bien qu’elle fut très bonne sous l’homme, ce n’était pas un prix de beauté ni la meilleure des belles-mères a priori. — Non, t’es fou ! C’est juste une fois par mois quand son mari n’est pas là. Elle vient, je la tire, on s’entend bien et chacun est content. — Et... à part elle... — Pas de régulière si c’est ce que tu veux savoir. ...