Les chroniques de Nature Et découvert : Anvers et damnation
Datte: 16/02/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... elle pour lui poser puis agripper ses fesses, ou pour caresser ses flans, ses cuisses, son cou et, je l’ai vu, effleurer ses seins. Rien en tout cas d’inconcevable quand on laisse sa compagne danser avec autrui en soirée, même dans des contextes moins sensuels. Stéphane semblait se contenter de se rincer l’œil. Il est vrai que les mouvements de ma femme rendaient de plus en plus fréquents et explicites ses exhibitions intimes. On pouvait facilement voir plusieurs centimètres carrés de chair, faire la différence entre la peau de l’intérieur des cuisses, les grandes lèvres toujours rose foncé de sa vulve, et même un peu du rose plus vif de ses petites lèvres. On voyait aussi que la fente du legging s’arrêtait assez loin entre ses fesses et devait laisser on petit œillet à l’air libre si la position le permettait. L’étape suivante fut moins suggestive, beaucoup plus proche de ce que Pussy était apte à montrer les années précédentes. Comme d’autres, mon épouse avait fini par monter sur l’un des nombreux podiums de la discothèque pour y danser. Dans un état quasi-hypnotique, très à l’aise en matière de danse et plus encore d’exhibition sexuelle, Pussy remuait comme une gogo-danseuse, jouait de ses mains pour souligner ses formes, soulevait son caraco pour caresser ses seins. Elle tournait sur elle-même et montrait à tous ce que nous avions été quelques-uns à voir avant. Puis s’accroupissait en écartant les cuisses, ce qui dévoilait sa corole désormais bien ouverte, humide ...
... d’excitation. Quelques minutes de cette démonstration l’ont poussée à ouvrir encore plus sa vulve excitée à l’aide de sa main gauche puis à se doigter de la main droite, d’abord en jouant avec son petit bouton et en terminant par l’introduction d’un, puis de deux doigts dans son vagin. On a pu ainsi vérifier que la fente de son vêtement permettait aussi à Pussy de nous montrer son petit orifice anal très excité. Fabrice et Stéphane n’en avaient pas perdu une miette, mais il faut souligner que les opportunités de voyeurisme ne manquaient pas dans La Rocca et rendaient la scène presque normale ! Des garçons gays de délectaient trois mètres plus loin des jeux obscènes d’un gogo-dancer transgenre qui branlait sa mine et longue verge en public. Un couple hétéro du public s’envoyait en l’air en levrette sur une banquette (mais sans qu’on ne voit un bout de sexe ou de sein !). Et beaucoup des centaines de présents étaient dans des états d’excitation perceptibles. Les meilleurs choses ayant une fin, il fallut bien se résoudre à sortir de la Rocca vers 5h du matin. Nous étions censés repartir en France dans la foulée, mais la redescente d’ecstasy ne nous rendait pas très dynamiques. Bien que l’énergie artificielle du trip nous ai quittés, nous restions malgré tout très…tendus par le contexte hyper-sexuel ambiant et en particulier par les démonstrations de ma compagne. Réinstallés dans la Super5, je laissais ma femme s’installer à l’arrière avec Fabrice, pas plus contrarié que ça tandis que ...