Les chroniques de Nature Et découvert : Anvers et damnation
Datte: 16/02/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Les chroniques de Nature Et découvert : Anvers et damnation Plusieurs années après nos frasques bretonnes, Pussy et moi avions en grande partie changé de contexte. Un drame familial nous avait apparemment soudés et nous étions mariés depuis 2 ans. Surtout, nous étions parents et plus stables professionnellement. Donc dans des rapports sociaux et des sorties plus rares et plus sobres. Toutefois, nous cultivions le culte de l’érotisme au quotidien. Des photos de ma chérie nue (et quelques unes de moi) étaient visibles par tous sur les murs du salon et dans notre chambre. Un patchwork photo érotique était à la disposition de nos visiteurs aux toilettes ; on y voyait, mêlées à d’autres, des parties intimes ou pas de nos corps respectifs. Par ailleurs, nous hébergions par moments une amie très proche -avec qui il y eût quelques années auparavant des moments intimes pour Pussy mais surtout pour moi- et certaines soirées s’étaient conclues en câlin poussé entre elle et moi, alors que ma compagne dormait. De son côté, cette dernière avait développé un érotisme plus sophistiqué, basé sur des tenues provocantes à première vue ou non, mais géré dans une rareté bien plus grande que 5 ans auparavant en Bretagne, par exemple. Cette année-là, alors que nous avions expérimenté les premières rave parties sur Paris et Rouen lors des 3 années précédentes, nous envisagions d’aller voir ce qui se faisait dans les discothèques en Belgique. Alors que nous venions de vivre une crise de ...
... couple assez classique, Pussy avait organisé une excursion à La Rocca, du côté d’Anvers. Elle y avait convié Fabrice et Stéphane, deux de mes copains -plus jeunes que nous de 7/8 ans- avec qui je jouais au football américain. J’avoue que la perspective me séduisait, n’ayant pas perdu plus que ma compagne le goût pour les focalisations visuelles sur sa personne. Nous avons confié notre fille à mes beaux-parents, Partis tous les quatre dans notre Super5 blanche, nous étions en tenues ordinaires pour nous à l’époque ; jean, t-shirt, blouson de cuir. Contrairement à beaucoup, nous faisions le voyage France-Belgique en consommant plus de hasch à l’aller qu’au retour. Ce qui fait qu’en arrivant à proximité de La Rocca et après avoir avalé un burger à Anvers, nous étions en excellents dispositions d’esprit. Devant la boîte de nuit, les premiers bataillons de fêtards nous semblaient riches, beaux, plus classe que la faune habituelle des boîtes françaises que nous connaissions. Nos looks respectifs nous faisaient presque honte. Une fois garés, Pussy nous a positivement surpris en nous demandant de bien vouloir descendre de voiture pour qu’elle ait la place de se changer. Car elle avait délibérément omis de nous dire qu’elle avait prévu une tenue pour la soirée, plus conforme aux extravagances des soirées Techno/House/Trance, plutôt chaudes. C’est donc après avoir laissé la miss quelques minutes seuls dans la R5 au fond du parking que nous la voyons s’approcher, effectivement bien ...