1. L'Aurore d'une autre vie (18)


    Datte: 16/02/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... l’application lorsque trente secondes plus tard, elle m’avertit d’un message. Je me précipitai dessus ! Enfin… ! C’était un ami qui m’envoyait un « Salut ça va ? » J’avais envie de le tuer pour m’avoir fait ce faux-espoir. En inspirant profondément afin de me calmer, je répondis pour ne pas laisser un gros vent bien que l’envie en fut énorme. Mais afin qu’il ne me tienne pas la jambe trop longtemps, je lui dis être occupé en ce moment et qu’il ne devait pas s’attendre à ce que je réponde beaucoup ni très vite. Ouf, il ne resta pas des heures. L’horloge indiquait déjà 21h10 et je n’avais toujours aucune nouvelle d’Aurore. Vu qu’il me restait de l’argent et qu’il commençait à faire faim, je commandai un croque-monsieur. Ma cousine, à cette heure-ci, avait déjà dû dîner avec ses parents. 21h15… 20… Je commençais à me demander si la soirée ensemble ne devait pas être annulée, et à plusieurs reprises j’étais sur le point de texter ma chérie pour lui demander si c’était toujours bon. ENFIN ! Il était 21h28 exactement lorsque je reçus un message sur mon téléphone : « C’est bon ». Sans perdre une seconde, je payai le barman et quittai immédiatement le lieu. D’un pas énergique, assuré et rapide, je me dirigeai vers l’immeuble, tapai le code d’entrée, pris l’ascenseur et sonnai à la porte. Aurore m’ouvrit, souriante et m’attira par la nuque. Avant toute chose, nous nous embrassâmes longtemps et avec délice. Très affamé d’elle, je me mis à la caresser et la baiser dans le cou, ...
    ... partout. — Oh, tu m’as tellement manquée… — Toi aussi… Désolée pour toute à l’heure, mes parents sont partis en retard. Ils sont invités chez un de leurs amis, ils restent dormir là-bas. — Vous avez mangé ? — Oui, et toi ? — Oui c’est bon. Tu veux y aller ? — Perdons pas de temps. Il faut dire qu’il était presque 22 heures. Nous voilà aussitôt dans sa chambre, la porte entrouverte. Ma cousine me fit l’allonger dans ses draps, et sans avoir besoin d’y être invité je me mis à l’embrasser à nouveau partout, notamment dans le cou. Aurore soupirait d’abandon et de plaisir tout en m’étreignant de ses bras. Nous nous déshabillions nous-mêmes, sans prendre le temps de s’effeuiller mutuellement tellement nous étions en manque. En un rien de temps nous voilà tous nus, moi la queue bien droite et elle les tétons bien durs. Je lui attrapai amoureusement les seins pour les lui pétrir, les lécher et les sucer en disant qu’eux aussi m’avaient manqués. En réalité, le corps tout entier d’Aurore m’avait manqué et je n’avais plus qu’un seul désir : y mettre ma bite. Baiser. C’était le seul verbe qui résonnait en boucle dans ma tête depuis le premier message. Je descendis tout le long du ventre de ma chérie, le frôlant de mes lèvres, avant d’arriver à son sexe que je dévorais passionnément. Ma langue et mes doigts titillaient cette fleur déjà chaude et humide. Mon majeur s’enfonça peu après dans l’orifice tout doux et glissant avant d’être rejoint par l’index, sans discontinuer la lèche. J’entendais ...
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