L'Aurore d'une autre vie (18)
Datte: 16/02/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... Aurore soupirer, soupirer… Ses cuisses me serraient la tête. Tandis que ma langue et mes doigts continuaient d’exciter cette chatte délicieuse, j’avais la fierté et la satisfaction de sentir une érection parfaite, la verge droite et stable sans effort. Elle ne demandait qu’à être caressée par ce cocon que pour l’instant seuls mes doigts visitaient. Ne t’inquiète pas, ma queue ; tu vas y aller, dans le vagin… Dans le vagin de ta cousine… Notre lien familial me revint à l’esprit… et j’en avouai un désir encore plus fort. Le fantasme de l’inceste me rattrapa. En fait, je retrouvai le goût de nos premiers ébats ensemble, ce qui était très agréable. Toutes ces pensées interdites et par conséquent délicieuses avaient tranchée ma patience : mon sexe voulait aller et venir, mon cerveau m’envoyait en boucle des images de moi sur ma partenaire, et mon corps tout entier avait envie de bouger. — Aurore, est-ce que tu veux me sucer ? — Ça me plairait, oui. Pourquoi ? Tu veux y aller tout de suite ? — J’aurais aimé… Mais si tu veux, fais-toi plaisir. — D’accord, pas de souci, dit-elle dans un sourire. Je vais faire vite. J’approchai alors mon vît de sa bouche et elle me complimenta sur sa forme olympique avant de le dévorer. Son excitation et sa dureté le rendaient particulièrement sensible. La langue de la jeune fille, chaude et vivante, ne le laissait pas indifférent. En même temps de sucer, Aurore me malaxait les couilles avec délicatesse. D’ailleurs, même quand elle de les massait ...
... pas, elle trouvait toujours un moyen de les toucher et je savais qu’elle le faisait exprès. Après tout, ne m’avait-elle pas dit qu’elle les aimait ? Devant mes râles insistants, ma belle partenaire comprit que sa bouche n’était plus suffisante et que j’avais besoin d’un contact plus vaste du corps, que j’avais besoin de toucher sa peau, d’être étreint d’une manière ou d’une autre. Après lui avoir demandé si c’était sans préservatif, elle m’assura avoir pensé à sa pilule au cours du dîner. C’est au moment où je lui écartai les cuisses, à genoux sur le lit, que je lui parlai : — Aurore… — Oui ? — Ça va te paraître bizarre ma demande, mais ça… ça m’excite un peu. — Je t’écoute ? — J’ai envie de faire l’amour à ma cousine. La demande la laissa un instant perplexe, puisqu’elle serait toujours ma cousine. Puis elle comprit où je voulais en venir : cela faisait longtemps que nous ne nous considérions plus comme tels, mais comme des amants « normaux ». — Allez viens… cousin ! Et en moins de temps qu’il fallait pour dire « inceste », voilà ma verge déjà à moitié enfoncée. Aurore parut agréablement surprise puisqu’elle souffla du fond de la gorge un « Oh ! Elle est si dure… ! » À chaque retour de verge, je m’enfonçai un peu plus dans sa matrice pour enfin y être au maximum. Le vagin de ma tendre cousine était si mouillé et si glissant que, après une pénétration en douceur, je me mis à aller et venir rapidement, énergiquement. — Ouh là ! rit-elle. T’y vas bien, dis donc ! — Oh oui, ça me ...