1. L'Aurore d'une autre vie (18)


    Datte: 16/02/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... chuchota Aurore. Ma cousine sauta de son lit et enfila illico un pyjama avant de sortir et de presque fermer la porte de sa chambre, assez pour ne pas me voir. Quelques secondes après, j’entendis la conversation et c’étaient bien mon oncle et ma tante qui revenaient. Aurore leur parla, étonnée. — Mais… Vous ne deviez pas rentrer demain ? — Quelqu’un a appris une très mauvaise nouvelle pendant le dîner, répondit son père. Un décès. On a annulé le reste de la soirée, et comme il n’était pas trop tard et que personne n’avait encore trop bu, tout le monde est rentré. — Tout va bien, Aurore ? Tu as l’air bizarre. — C’est que… Je… Je suis pas toute seule. Il y a un garçon dans ma chambre. Mon cœur tambourinait dans ma poitrine. J’étais nu, dans la chambre et les draps de ma cousine, à seulement deux mètres à peine de ses parents qui étaient loin d’imaginer la réalité… Je guettais la porte, sans savoir quoi faire ni quoi dire s’ils devaient la franchir. — Ah, fit sa mère. Écoute, très bien… On vous a dérangés ? — Non… enfin oui, je… C’est pas la question ! — Tu n’as pas à avoir honte, ma chérie, assura son père. C’est normal à ton âge. — Oui enfin, le truc c’est que… Il devait rester la nuit et repartir avant votre retour demain ! Je ne voulais pas que vous le voyiez. — Oh… c’est un ami à toi ? demanda ma tante. — Oui, et je… vous le connaissez. Mais c’est pas vraiment sérieux, on n’est pas vraiment ensemble, c’est juste pour… pour se faire du bien. Je veux pas que vous sachiez ...
    ... qu’il me… — Ne t’inquiète pas, ma chérie. Comme tu veux, mais nous ne le jugerons pas. Tu fais des folies avec qui tu veux. — Il n’a pas envie non plus que vous le sachiez. — Très bien, fit son père. Nous vous laissons, alors. Désolés de vous avoir dérangés. Je les entendais marcher dans le couloir avant de fermer la porte de leur chambre. Ce ne fut qu’après le claquement qu’Aurore revint et veilla à tourner la clé dans sa serrure avant de soupirer profondément. — Qu’est-ce qu’on fait ? lui chuchotai-je du lit. — Je sais pas, répondit-elle à même hauteur. C’est trop tard pour les trains, tu vas dormir ici. Tu partiras demain, quand on aura un petit créneau. Elle vint ensuite se coucher, dos à moi, toujours en pyjama. Elle était anxieuse, et quand je posai ma main sur son bras, le la sentis trembler. Honnêtement, je tremblais aussi. Après nous être souhaité bonne nuit et un baiser, nous éteignîmes la lumière. Le retour prématuré des parents nous avait coupée toute envie de faire l’amour. Le lendemain, nous nous réveillâmes presque ensemble. Il y avait du mouvement dans le séjour. Je me levai et m’habillai tout de suite, pour être prêt à filer rapidement. Mais j’avais cruellement faim. Aurore me donna cinq euros en me disant d’acheter un truc à la boulangerie plutôt que de prendre le temps de déjeuner ici. Mon oncle dut sortir faire une course, et ma tante dormait encore. Nous attendîmes environ cinq minutes avant qu’Aurore n’ouvre sa porte, vérifie l’appartement et me fasse signe. ...
«12...4567»