1. Les démons de Noémie (11)


    Datte: 10/07/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... et puants, puis gobant les bourses de chacun. Elle titillait les freins de sa belle langue rose et avalait les verges jusqu’au fond de sa gorge. Soudain, il y eut comme un moment suspendu, un long silence. Puis, dans un râle rauque, le gamin largua toute sa purée sur les cheveux de Noémie, qui suçait le grand type. Ce dernier, ne tenant plus, inonda la gorge de son foutre. Les trois autres finirent par jouir aussi et de longues giclées vinrent recouvrir la tête et le visage de la jeune asiatique. Le sperme dégoulinait sur ses joues, son front et ses cheveux. Elle recracha une partie du jus qu’elle avait en bouche qui coula sur son menton et finit sa course sur ses seins. Ce spectacle amusa les gars qui remballèrent leurs queues et sortirent en riant. Noémie resta figée, avec des filets de semences gluantes glissant sur ses cheveux et son visage. Elle haletait, l’air un peu hagard. Géraldi n’avait pas loupé une miette et grimpa à son tour dans le fourgon. Il sortit sa bite et l’enfonça dans la bouche de la jeune asiatique. Quelques minutes plus tard, rhabillée, elle vit René parler aux ouvriers. Et quelque chose lui parut évident : il ne faisait jamais rien pour rien. Ce qu’elle avait subi aujourd’hui devait servir ses intérêts d’une façon ou d’une autre. Et le gangbang de l’autre soir n’avait pas de but précis. Ce n’était pas lui le commanditaire mais quelqu’un d’autre. Une fois revenue chez elle, Noémie analysa la situation. Il lui fallait contrer Géraldi. Pour ça, elle ...
    ... devait avoir un allié. Michel, le beau-frère ? Ils avaient un ennemi commun. Elle devait avoir accès aux ordinateurs de Géraldi et à son portable. Et donc, détourner son attention pour pouvoir pénétrer chez lui. Un plan était en train de germer dans sa jolie tête…. Elle reçut un message sur la page « Chasseresse ». Le gros avait réagi enfin et donné le nom et le numéro de son complice : Marc Duverne. La belle entreprit aussitôt des recherches et finit par trouver son adresse. Il était marié. Un point de pression bien utile. Elle s’en était déjà voulue de ne pas avoir demandé au gérant de la station le nom de l’inconnu. Mais les choses tournaient enfin à son avantage. Elle pouvait elle aussi contrôler les hommes qui avaient profité de son corps. Elle remarqua, en regardant son portable, qu’elle avait un message vocal d’André. Sûrement avait-il appelé lorsqu’elle se faisait démonter dans le fourgon. — « Noémie, c’est André… Je… Tu n’es pas là… Il faut qu’on parle d’Olivier… Il… Tu ne sais pas tout, pourquoi ma femme est partie… Olivier est pas celui que tu crois, c’est un petit fumier… Je… Faut qu’on se parle. Bye. » Elle essaya de rappeler mais personne de répondit. Curieux message. De quoi pouvait-il être au courant ? Elle s’allongea sur son canapé, la tête pleine de questions et s’endormit. Le lendemain, elle décida de contacter Michel. Elle se rappelait très bien de l’adresse de Géraldi et savait que le bar qu’il tenait était en bas de la rue. Elle ne tarda pas à trouver le ...
«12...4567»