1. Louise fait des aveux à son mari


    Datte: 17/02/2018, Catégories: fh, hplusag, cocus, Collègues / Travail fsodo,

    Dix-neuf heures quarante-cinq. Je rentre dans notre appartement. Je retrouve Vincent qui rentre en général après moi, je l’embrasse rapidement et lui dit : — Je suis désolée, j’ai été retenue au travail, un dossier urgent à boucler.— Rien de grave ? me demande Vincent— Non, non, rien de grave. Je file prendre ma douche et je te rejoins mon chéri. Il y a une salade dans le frigo, Vincent, tu veux bien la sortir et mettre la table ?— OK, je m’en occupe. Je devrais m’en sortir. Il s’occupe de tout préparer alors que je prends ma douche. Je le rejoins rapidement et nous passons aussitôt à table. Le reste de la soirée est tout à fait ordinaire, rien de spécial à signaler. Nous regardons une série, blottis l’un contre l’autre dans le canapé et filons nous coucher dès que l’épisode est terminé. Sitôt couchés, Vincent se colle contre moi. J’aime me blottir quelques minutes contre lui comme cela lorsque nous nous couchons. Mon dos contre son ventre, en général, rapidement, je sens son sexe qui grossit dans le bas de mon dos. Cela suffit en général à « m’énerver » et à lui faire passer un sale moment pour finir la journée puis bien nous endormir. Mais pour l’instant, il y a quelque chose qui me préoccupe et je ne sais pas comment aborder le sujet. Après quelques hésitations, je me lance. — Vincent, j’ai des aveux à te faire, lui dis-je alors.— Des aveux ! Que se passe-t-il, Louise ?— Eh bien voilà, nous sommes mariés depuis plus de trois ans et nous nous sommes promis de toujours tout ...
    ... nous dire.— Oui, c’est vrai ! II se passe quelque chose de grave ?— Je dois te dire pourquoi je suis rentré tard ce soir, Vincent.— Ah oui, j’avais effectivement remarqué !— Alors que je me préparais à partir, Serge, mon patron, m’a appelée pour que je passe le voir avant de quitter mon poste. Je croyais que j’étais seule dans les bureaux et m’apprêtais à éteindre les lumières et à fermer à clé. Je me suis alors présenté à l’entrée de son bureau, la porte était entrouverte. — Eh bien, c’est très bien, Louise, me dit Vincent. C’est tout cela qui t’inquiète ?— Laisse-moi continuer, Vincent, ce n’est pas tout. Je le remercie alors de tous ses compliments. — Deux mois ! dit Vincent.— C’est exactement ce que je lui ai dit. Il se présente derrière moi et pose ses mains sur mes épaules en me disant : Troublée par ses mains posées sur moi, je balbutie : — Il t’a massé la nuque !— Oui, Vincent, mais ce n’est pas tout. En fait, je crois que c’est précisément à ce moment-là qu’il a commencé à défaire un à un les boutons de mon chemisier. J’étais pétrifiée, comme hypnotisée par ses mains si douces, si délicates et tellement sûres d’elles. Ils les a tous enlevés un à un, tranquillement, et a écarté les pans de mon chemisier.— Comment ça, douces et délicates, dit Vincent.— Laisse-moi continuer, je t’ai dit, ce n’est pas tout. En fait, j’ai pu apprécier la douceur de ses mains lorsqu’il a commencé à glisser ses mains sous mon chemisier et à caresser ma poitrine. Ses deux mains plongeaient ...
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