1. Louise fait des aveux à son mari


    Datte: 17/02/2018, Catégories: fh, hplusag, cocus, Collègues / Travail fsodo,

    ... que j’avais eu envie de te faire plaisir. Il m’a alors offert un magnifique cunnilingus comme rarement on m’en avait fait. Sa langue habile allait et venait en moi, me léchait, me suçait. Par moment sa langue titillait délicatement mon clitoris, puis l’instant suivant, elle me pénétrait, puis absorbait toute ma vulve. Je mouillais comme une folle et devait inonder sa bouche de ma cyprine ruisselante. — Comment ça, tu dégoulinais ? dit Vincent, dont les doigts vont de plus en plus profondément en moi.— Oui, je dégoulinais, vraiment, c’était tellement bon de se faire bouffer la chatte comme cela, mais ce n’est pas tout. J’étais prête à jouir dans sa bouche quand il cessa de jouer avec sa langue. Il présenta alors son énorme queue à l’entrée de mon vagin puis me demanda si j’en avais envie.— Tu lui as dit non, j’espère, me dit Vincent, dont je sens la queue de plus en plus dure contre ma cuisse.— Comment ça lui dire non ! J’étais surexcité et n’avais vraiment pas envie que cela cesse. Je lui ai dit : « Oui, baisez-moi, s’il vous plaît ! » Il ne s’est pas fait prier et a commencé à venir en moi tout doucement. La sensation était extrême, j’avais l’impression d’être entièrement remplie, comblée par son immense engin. Malgré tout, il était extrêmement délicat et ne voulait pas me brusquer, ni me faire mal, elle est tellement volumineuse aussi. Sa verge allait maintenant en moi régulièrement, en douceur, lubrifiée qu’elle était par ma mouille. Je ne sentais aucune douleur, bien au ...
    ... contraire, c’était divin de se faire prendre ainsi. Bien sûr, tout en me limant, il me léchait les seins ou les caressait. Ils lui plaisent vraiment, j’en suis certaine.— Mais il t’a baisée, ma parole ! dit Vincent stupéfait, mais ne cessant de me caresser et d’introduire plusieurs doigts dans ma chatte maintenant.— Ben oui, c’est ça et c’était vraiment très bon et il est tellement doué, mais ce n’est pas tout, Vincent.— Comment ça, ce n’est pas tout ?— Non, Serge m’a ensuite gentiment demandé de me mettre à genoux sur sa chaise de direction. Évidemment, je ne me suis pas fait prier et ma poitrine appuyée sur le haut du dossier, je me cambrais tant que je pouvais pour qu’il admire ma croupe, le cul en l’air pour continuer à l’exciter. Il a alors ouvert un tiroir, en a extrait un flacon dont il a fait couler un liquide gluant sur mon anus.— Sur ton anus ! dit Vincent qui commence alors à faire tourner un de ses doigts sur ma petite rondelle.— Oui, mais ce n’est pas tout. Il a ensuite pris son coupe-papier et s’est amusé à le faire glisser sur ma vulve dégoulinante. Je sentais le froid du métal, la peur qu’il me blesse me faisait frémir et me rendait folle en même temps. Il a joué ainsi quelques minutes en faisant glisser cette lame de ma vulve à mon anus sans jamais me faire mal. C’était toujours très doux, très délicat. Il a ensuite présenté le manche du coupe-papier à l’entrée de mon anus et a commencé à pousser tout doucement.— Voulez-vous ? m’a-t-il demandé.— Je ne sais ...