La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°745)
Datte: 18/02/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Histoire de fantômes au Château – (suite de l'épisode N°740) - Le dépucelage de Clara - ‘‘Toujours assise sur les marches, en bas des escaliers menant au premier étage, Clara est donc entièrement nue. Sa chemisette de nuit jetée à terre, elle a écarté ses genoux et ouvert largement ses cuisses. Elle révèle la blanche douceur de ses cuisses, de ses hanches et exhibe ainsi, aux regards de sa mère et du Marquis, la large fente rose de sa vulve pulpeuse. La tête de Clara est renversée en arrière, ses cheveux ondulés tombent en cascade sur ses épaules nues, elle est calée sur les marches en bois et offre le plus impudique des spectacles. Elle se déhanche dans la jouissance tout en montrant bien en avant son sexe grand ouvert. En effet, Clara jouit à n’en plus finir, ouvrant de ses doigts sa chatte et dévoilant ses chairs les plus intimes, écartant celles-ci au maximum d'une main fourrant ses doigts dans son sexe béant et ruisselant de cyprine et de l'autre main à se masturber son clitoris gonflé et gorgé de désirs brûlants... Moi, la comtesse du Dranier, sa propre mère, reste figée par la surprise, bouche bée. Monsieur Le Marquis recule et je le vois aussi dans un absolu silence due à la stupeur du moment. Alors, je me lève en omettant de demander l’autorisation à pouvoir le faire, mais ma surprise étant totale, d’une part d’être prise en flagrant délit de soumission me perturbe et d’autre part le constat de voir ma propre fille Clara se caresser d’une manière aussi ...
... ostentatoire et impudique. Même si je ne l’a savais pas tout à fait innocente sur la sexualité féminine car je savais qu’elle se caressait parfois seule dans sa chambre, répondant à l’appel de ses envies de vierge en chaleur, de son corps de femme ... Je n’en ai jamais parlé à son sévère père, le comte, beaucoup trop puritain pour comprendre ce genre de choses. Donc, afin de calmer la situation, je m’approche doucement de Clara, sans prendre aucun air de reproches, mais j’opte plutôt pour une attitude de compassion en tendant mes bras en avant légèrement élevés. Clara me voyant m’approcher, stoppe sa masturbation mais ne peut retenir sa respiration rapide post-orgasmique. Je prends sa tête dans mes bras, contre ma poitrine et serre très fort pour lui montrer tout mon amour de mère mais aussi que je la comprends et que je trouve normal son agissement à se masturber, qu’il n’y ait aucun pêché à se caresser. Agissant ainsi, je suis encore une fois en total désaccord avec mon mari ultra-catholique qui, lui, considère la masturbation comme étant un inadmissible et impardonnable pêché… Clara se calme, sa respiration ralentit, elle ne bouge pas, reste ainsi de longues minutes dans une tendresse inouïe. Je la sens bien, apaisée, comme c’est si souvent le cas quand je la console de ses petits tracas, là au creux de mon épaule lui caressant doucement ses beaux cheveux. Car malgré son handicap, ce n’est parce qu’elle est muette de naissance, qu’elle ne puisse pas me communiquer ses émotions, ses ...