La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°745)
Datte: 18/02/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... joies, ses peines. Bien au contraire, les mots ne servent souvent à rien pour que le dialogue avec elle soit riche, sachant entendre la compréhension, l’affection, ou la tendresse qui passent entre une mère et sa fille. Ses larmes coulent sans bruit sur son doux visage et je comprends amplement qu’elle est heureuse de se savoir aimée et comprise par la mère que je suis. Ce sont des larmes de bonheur. Après de longues minutes ainsi, Monsieur le Marquis Louis-Alexandre d’Evans, qui jusque-là avait observé la scène en silence, s’exclame et nous sort ainsi de ce merveilleux moment de câlins : - Je constate que ta fille n’est pas choquée de ce que nous faisions ensemble… De plus, son comportement à se caresser sans aucune pudeur à nous regarder, a … comment dire …. enivré son corps de jeune pucelle ! - Oui ô Maître, veuillez pardonner son attitude, elle est encore jeune et vierge et avec tout juste ses 18 ans passés, elle ne connait que le plaisir solitaire de la masturbation en réponse à l’appel de son corps… - Je ne suis pas venu ici pour m’occuper d’une jeune vierge, alors qu’elle remonte se coucher. - Oui Maître, vous agissez ainsi en honorable Seigneur. (puis s’adressant à Clara) - Tu as entendu ce qu’a dit Monsieur le Marquis, va te coucher, ma chérie. Soit tranquille, je sais que tout ce qui s’est passé ce soir restera entre nous et que ton père n’en saura jamais rien… Tu peux aller dormir en toute quiétude… Pour toute réponse, Clara, telle une enfant capricieuse me ...
... tourne énergiquement la tête négativement de droite à gauche avec une moue de mécontentement. Visiblement, elle ne veut pas remonter se coucher et se remet à se serrer fort contre moi, me faisant comprendre qu’elle veut rester, qu’elle est bien avec nous. - Ne fait pas l’enfant, ma chérie, tu vois bien que Monsieur le Marquis a exigé que tu ailles te coucher… Allez soit gentille et obéis-moi… lui dis-je. Cette fois, comme toute réponse et subitement Clara s’extirpe de mes bras et d’un bon rapide, va se mettre promptement devant Monsieur le Marquis, toujours dénudée, elle s’agenouille le plus vite possible et se prosterne en levrette, les bras longuement en avant, la pointe de ses doigts juste à quelques centimètres des chaussures du Noble. Elle ne bouge plus ainsi positionnée et semble attendre dans une évidente servilité. - Clara, revient vite et va te coucher, lui dis-je de nouveau. - Ta fille ne semble pas vouloir t’obéir, toi sa propre mère ! - Je suis bien désolée, Maître, veuillez la pardonner mais je sais qu’il ne faut pas la brusquer sinon, elle va se braquer et cela sera pire encore pour elle. Je vais essayer de lui faire comprendre que sa place n’est pas là … - Et qu’en sais-tu, si ce n’est pas sa place ici, après tout ? s’exclame Monsieur le Marquis – Et quand je dis ‘‘sa place’’, je parle de celle qu’elle semble souhaiter absolument, la seule qui l’a rendrait heureuse apparemment, celle qui est tout simplement à Mes Nobles pieds … Oui, ouvre les yeux, ma chienne, et ...