1. Hier soir


    Datte: 10/07/2017, Catégories: fh, hplusag, grossexe, grosseins, fépilée, vengeance, Oral pénétratio, fdanus, consoler,

    ... ouverte et le sexe de Sébastien qui reste immobile dans celui d’Isa. Ils viennent visiblement de jouir tous les deux. Les hostilités ne font apparemment que commencer et n’y tenant plus c’est ce moment que je choisis pour m’éclipser discrètement, la tête dans un étau, embrumée par les images de ma femme à demi nue se faisant prendre par mon ami Stéphane. Je reprends ma voiture et erre un moment sans but dans notre petite ville de province, ne sachant où aller ni que faire. Toujours les mêmes images, les même sons, les mêmes pensées qui m’assaillent sans me laisser le moindre répit. Il est maintenant dix-neuf heures trente et dans l’état où je suis je ne peux décemment pas rentrer chez nous l’air de rien. Je décide alors d’aller demander conseil à la seule personne à qui je peux en parler : Nadège. Je l’appelle et au son de ma voix elle comprend que quelque chose ne va pas et sans rien demander me dit de passer la voir. Cinq minutes plus tard, j’entre dans la résidence où elle vient de louer une petite maison pour elle et sa fille. Je sonne fébrilement à sa porte, ne sachant pas comment lui présenter la chose et là je m’effondre en lui expliquant ce que je viens de voir. Elle me prend dans ses bras et me serre contre sa poitrine qui en temps normal me fait tant fantasmer mais qui alors me laisse presque indifférent. Je crois que tout a basculé lorsqu’elle a commencé à me masser la nuque doucement du revers de la main. Ensuite celle-ci est venue caresser ma joue, offrant à ...
    ... mes sens une douce chaleur. Nos lèvres se sont unies, d’abord timidement puis frénétiquement, me faisant complètement oublier les visions précédentes de ma femme avec mon ami. Seules les nouvelles sensations, les nouvelles odeurs m’enivraient à présent. En l’espace de quelques secondes nous nous sommes retrouvé nus dans le salon, mes lèvres se posant d’autorité sur ses seins, pinçant, mordillant, léchant, tétant comme un bébé ces deux superbes masses. Tout doucement ma bouche est venue entre ses cuisses où un minou totalement dépourvu de pilosité m’attendait, et qui telle une source naturelle perlait d’une liqueur suave et odorante que je m’empressai de laper avec intérêt. Nadège n’était pas inactive puisqu’elle promenait ses mains sur mon sexe bandé comme rarement il l’avait été. Alors que je lapais encore ce sexe baveux qui m’était offert, mes pensées revinrent sur le film qui s’était déroulé devant moi quelques instants auparavant, ne pouvant enlever l’image de ma femme nue, à quatre pattes sur la table basse, se faisant prendre sans ménagement. J’en étais à ces pérégrinations lorsque comme venu d’un rêve j’entendis ces trois mots qui résonnent encore dans ma tête : — Prends-moi vite ! Et là, comme guidé par mon inconscient ou un désir de vengeance, je me suis vu la mettre dans la même posture où j’avais quelques minutes auparavant trouvé ma femme. Elle grimpa sur la table basse et je me mis derrière à genoux, histoire de profiter encore un peu de cette merveilleuse liqueur ...