1. Hier soir


    Datte: 10/07/2017, Catégories: fh, hplusag, grossexe, grosseins, fépilée, vengeance, Oral pénétratio, fdanus, consoler,

    ... qui suintait entre ses cuisses. Mais le déhanchement incontrôlé de la belle me ramena vite à la réalité et me relevant je rentrai d’un trait dans son sexe brûlant. S’ensuivit une longue séance de pilonnage en règle qui l’amena rapidement à l’orgasme. Nadège s’écroula tout à coup sur la table, incapable de faire le moindre mouvement. Je la portai jusqu’au canapé et je me mis à côté d’elle, sa tête reposant sur moi à quelques centimètres de mon sexe toujours bandé. Elle reprit doucement ses esprits ainsi que ses caresses sur mon sexe pendant que mes mains massaient délicatement ses globes charnus. Elle vint ensuite s’empaler directement sur moi en s’asseyant dos à moi. Commença alors un ballet d’ondulations asynchrones m’offrant une vue imprenable sur son petit trou dépourvu lui aussi de tout poil, sur lequel je pointai mon pouce pour lui prodiguer un doux massage circulaire en prenant bien soin de rester en surface. C’est elle qui d’un coup recula son bassin et aspira totalement mon pouce dans son fondement. Je repris alors mon petit massage cette fois interne pendant que Nadège ondulait toujours sur mon sexe, le ressortant parfois entièrement pour s’empaler encore aussitôt dessus dans un râle guttural ...
    ... très excitant. Alors que sa rondelle s’assouplissait de plus en plus, je plaçai mon autre main sur son clito qui ne demandait que ça, déclenchant une nouvelle vague de jouissance chez ma partenaire. La scène qui m’avait emmené chez elle était encore présente dans mon esprit et de rage je fis basculer Nadège en avant et pointant mon sexe devant sa rondelle, je la pénétrai d’un coup jusqu’à la garde, lui arrachant un cri de douleur. Nous sommes restés comme cela un instant sans bouger, et c’est elle encore une fois qui donna le signal par de petits mouvements. M’accrochant à ses hanches je repris alors le contrôle des va-et-vient dans un rythme démoniaque qui nous amena tous les deux à l’orgasme en quelques minutes. Après ce moment de folie incontrôlée mais bien agréable quand même, toutes les interrogations que j’avais mises en stand-by reprirent le dessus. Nadège se leva et alla dans la salle de bain, moi je me rhabillai directement, lui fis un dernier baiser beaucoup plus sage que les précédents (eh oui, l’excitation passée, tout est différent…) et pris le chemin de notre foyer conjugal. Un coup d’œil à ma montre m’indiqua vingt et une heures trente. Un message sur mon portable : — Tu es où ? À suivre… 
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