1. Une histoire folle (2)


    Datte: 21/02/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... agitait, mais curieusement il ne faisait pas de va-et-vient, comme on le fait d’habitude. Dès l’instant où il a commencé à les agiter, j’ai ressenti une envie de faire pipi. Je me redressai un peu pour le lui dire. — Papa, arrête ! Je sais pas pourquoi, mais j’ai envie de pisser quand tu me fais ça ! Il eut un sourire victorieux en me regardant. — Non, ma puce, laisse-toi faire. Tu vas découvrir quelque chose d’incroyable, tu ne vas pas en revenir. — Mais je risque de... — Chhhhhht, me murmura-t-il. Calme-toi et fais-moi confiance, me dit-il pour me rassurer. Je m’allongeai de nouveau, et plus mon père me caressait, plus mon envie de pisser s’estompait, laissant place à des sensations de bonheur euphorique. Je ne pouvais plus retenir mes cris, mes jambes gigotaient dans tous les sens, j’étais prise de violents spasmes, ma tête se vidait, j’étais dans du coton, je ne me contrôlais plus, je criais mon bonheur quand tout à coup j’arrosai mon père dans un cri aussi fort et violent que le jet qui l’arrosait. J’étais complètement épuisée, abasourdie, honteuse, mais vraiment heureuse. Je ne savais plus où j’étais ; j’avais la sensation que mon cœur allait bondir hors de ma poitrine, tant il battait à tout rompre. Il me fallut un moment pour me remettre de mes émotions. Quand mon père revint à ma hauteur pour me donner un baiser qui me redonna un peu de vigueur, il me sourit tendrement. — Félicitations, ma chérie : tu es ce qu’on appelle communément une "femme fontaine". Je suis ...
    ... très fier de toi ! me dit-il avec un sourire rayonnant. — Oh, papa, c’était fabuleux ! Je le pris dans mes bras pour l’embrasser de toutes mes forces. Ce que je n’avais pas vu, c’est qu’il avait retiré son caleçon, et je sentis son gland juste à l’entrée de ma petite chatte. Je ne voulais faire qu’un avec lui. — Lily, tu sais, il est encore temps de tout arrêter ; je ne t’en voudrai pas. — Comment traduis-tu ce que je fais ? l’interrogeai-je en lui caressant tendrement la joue. Je lui souriais, et comme pour l’inviter, j’enserrai mes jambes autour de sa taille. Il poussa un peu et je sentis son membre forcer l’entrée pour plonger en moi. Sa queue était chaude. Il me remplit complètement. Je me sentais merveilleusement bien ; nous ne faisions plus qu’un, désormais. Je plongeai mes yeux dans les siens, et il entama de longs et langoureux va-et-vient. Nous nous embrassions tendrement. Mes gémissements et petits cris l’accompagnaient. Il alternait à la perfection la vitesse et la puissance avec la douceur et la sensualité. Au bout de plusieurs minutes, je sentis sa queue prendre du volume ; la respiration de mon père s’accélérait. Il se plaqua contre moi et me lâcha une formidable quantité de sperme dans un râle rauque et profond. Je sentis cette chaleur se répandre en moi ; c’était tout bonnement parfait. Notre union était consommée, et j’avais les larmes aux yeux ; j’étais heureuse, comblée, épanouie. Sa queue ressortit de moi, ramollie et gluante, et il s’allongea à mes côtés. ...