1. Une histoire folle (2)


    Datte: 21/02/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... Nous nous sommes encore embrassés pour nous féliciter de cet acte amoureux, puis je posai ma tête sur son torse. — Tu as été merveilleux ; je t’aime ! lui déclarai-je en déposant quelques petits baisers sur lui. — Moi aussi : je t’aime, ma puce ! Je ne savais pas pour lui, mais moi je désirais un second service. Je pris la queue ramollie et gluante de mon père dans la main pour la caresser tout doucement, délicatement, et rapidement ma bouche prit le relai. Il fut ravi de cette initiative. Je commençai par lécher le gland crémeux au goût de nos fluides mélangés, un goût qui me plut énormément car ça commençait à m’exciter de nouveau. Je le léchai et me décidai à ouvrir grand la bouche pour lui tailler une pipe amoureuse tout en lui caressant tendrement les boules et en le regardant dans les yeux. Sa main me caressait les cheveux, et moi j’alternais mes caresses buccales. Au bout de quelques instants de ce traitement, sa queue redevint toute dure. Ma bouche et ma langue alternaient entre sa queue et ses boules que je léchais, suçotais, ou que je prenais dans ma main. — Tu aimes, papa chéri ? — Ooooooh oui, ma puce, c’est génial ! — Tu aimes la pipe de ta fille ? — Je l’adore ! m’avoua-t-il dans un souffle, les yeux mi-clos. Continue comme ça... oqgozzan Il semblait à point ; et moi, ma petite chatte réclamait de nouveau cette grosse queue. Je me relevai pour embrasser tendrement mon père. Je pris sa queue dans ma main, me plaçai à califourchon sur lui et positionnai sa queue ...
    ... à l’entrée de mon orifice. Il me prit par les hanches pour me guider, et doucement je m’empalai sur lui. Quelle sensation divine, sentir sa queue se frayer un chemin dans ma chatte... Je posai mes mains sur son torse et entamai de doux et langoureux va-et-vient. Il me caressait les seins, les fesses ; il était doux, et aimait jouer avec moi. J’étais aux anges. Sans prévenir, il me saisit les fesses et m’accompagna en bougeant les hanches, ce qui accentua la pénétration. Il la rendait plus forte, plus rapide, et mes gémissements devenaient de plus en plus aigus ; je prenais vraiment beaucoup de plaisir. Cette fois, il me prenait ; même si j’étais sur lui, il avait de nouveau le contrôle sur moi. Alors une idée me vint a l’esprit : je saisis mes seins et me les malaxai devant lui pour l’exciter tout en le regardant avec un air de salope et en jouant avec ma langue sur mes lèvres, comme dans un porno. J’avais toujours trouvé cela vulgaire, mais peut-être que mon père aimerait ça. Je ne me suis pas trompée : cela a eu pour effet de rendre ses coups plus puissants, ce qui m’arrachait maintenant des cris. Je sentais un autre orgasme monter... Mon Dieu, quel bonheur ! Je n’aurais jamais cru cela possible, mais d’un coup mon père s’arrêta. — Mets-toi à quatre pattes, ma puce, me souffla-t-il. J’obéis sans me faire prier ; je dois dire que j’ai toujours aimé cette position animale. Il vint alors se placer derrière moi, me prit par les hanches, et d’un seul coup s’enfonça en moi avec ...