De l'ouverture
Datte: 21/02/2018,
Catégories:
fh,
couple,
hsoumis,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
hdanus,
hgode,
hfisté,
jouet,
init,
hsoumisaf,
fsodoh,
Il faut que je vous dise que ma femme est une maîtresse femme. Elle a du caractère et aime me dominer physiquement et sexuellement. Avec le temps et une complicité totale, nous sommes parvenus à un niveau de plaisir sexuel d’une intensité qui nous satisfait pleinement. Je suis soumis et j’aime me laisser guider, surtout que ma partenaire ne manque ni d’idées ni d’envies. Elle me connaît bien et sait combien j’apprécie la sodomie, puisque c’est elle qui me la fit découvrir d’une façon tout à fait inattendue. Nous venions d’emménager et j’avais des travaux de réfection à entreprendre. C’était lors d’un été très chaud et j’étais donc en slip, à quatre pattes sous le lavabo. Elle m’observait. Je ne sais ce qui lui passa par la tête à cet instant, mais je sentis soudain quelque chose passer entre mes fesses. Cette caresse inédite (nous étions encore jeunes mariés) me plut et une partie de mon corps prit immédiatement une forme plus solide. Je voulus m’extraire de dessous ce lavabo pour répondre à ce qui semblait être une invitation, mais ma femme me poussa davantage vers le fond et je me cognai même le crâne aux tuyaux. — Ne bouge pas, je te l’interdis ! Je sentis l’objet passer et repasser sur le tissu de mon slip, entre mes fesses. — Tu bandes, mon cochon. Tu aimes ?— Qu’est-ce que tu fais ?— Tais-toi ! Laisse-moi faire ! Ma femme baissa mon slip. Je bandais de plus en plus. L’objet passa entre mes fesses nues. — Laisse-toi faire, j’ai envie ! Entre mes cuisses, j’aperçus ...
... qu’elle avait à la main mon marteau, dont le manche me procurait cette caresse délicieuse. Je sentis quelque chose couler entre mes fesses. — Voilà, comme ça tu n’auras pas mal.— Mais, que fais-tu ? Qu’est-ce qui te prend ? Une nouvelle poussée me bloqua la tête contre le mur. Le bout du manche du marteau étala l’huile qu’elle venait de verser sur ma rondelle encore vierge. — Allez, maintenant on y va. Laisse-toi aller, tu vas aimer. Elle poussa lentement, mais sans hésiter. Pas moyen ! Mon corps faisait barrage à cette intrusion, mes sphincters refusant de céder à la pression ! — Tu ne veux pas me faire plaisir ?— Si, mais… Ah ! Ma femme venait de plonger son majeur entre mes fesses. — Voilà, je vais être bonne et t’accorder un échauffement. Elle se mit à faire aller et venir son doigt entre mes fesses, doucement, jusqu’au bout. Petit à petit, je me relâchais et la douleur disparut. — Tu aimes ?— Putain, oui, j’aime ! Et c’était vrai. Son doigt se mit à tourner pour m’ouvrir. Je fermai les yeux et me laissai aller aux délices de cette sodomie digitale inédite. — Je suis sûre que tu peux faire mieux ! Je vais t’en mettre un deuxième. La détermination de mon épouse me surprenait autant que mes dispositions. Je laissai échapper un nouveau cri quand le deuxième doigt me pénétra. — J’aime ça, souffla ma femme, je rêvais de t’enculer comme ça. Sa voix était rauque et trahissait son excitation. Elle était agenouillée derrière moi et avait relevé sa jupe. Elle avait la main gauche entre ...