1. De l'ouverture


    Datte: 21/02/2018, Catégories: fh, couple, hsoumis, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral hdanus, hgode, hfisté, jouet, init, hsoumisaf, fsodoh,

    ... raison tellement la scène prenait un tour porno. Je me mis à penser que quelqu’un nous regardait. Les trois doigts glissaient, nageaient dans le lubrifiant et entre mes muqueuses distendues. — Lève-toi, je veux te voir ! Installe-toi sur la table ! Je me couchai, le dos sur la table basse du salon, puis relevai les jambes pour qu’elle reprenne sa pénétration. Je parvins à glisser une main entre ses cuisses et la remontai sous sa jupe. Divine surprise ! Elle ne portait rien et sa chatte était trempée. Cet attouchement fouetta son désir et elle poussa quatre doigts, réunis en cône, qui me massèrent la prostate et me mirent en transe. Je tentai de lui baiser le ventre, car je voulais sentir sa mouille et la boire. Ses yeux ne quittaient pas les miens. Elle avait un étrange sourire. Chaque avancée de sa main en moi provoquait un gémissement. — Oui, vas-y, mets-moi tout ! Baise-moi ! Baise-moi ! Je sentis son pouce venir s’ajouter au reste des doigts. — Je vais te baiser avec mon poing, je vais te fister ! De sa main libre, elle se caressait un sein. Elle en pinçait le téton et je la voyais se mordre parfois les lèvres. — Tu veux voir ?— Oui, je t’en prie. Elle sortit un miroir du tiroir de la table basse et l’installa en face, sur le canapé. Je pus, enfin, découvrir mon cul transpercé par la main de ma femme, et prêt pour une visite complète ! Les cinq doigts poussaient. Je lançai ma main pour attraper son poignet et l’attirer encore plus profondément. — Oh ! Gourmand, tu aimes ...
    ... jouir par le cul ! Ça va rentrer encore un peu, un tout petit peu.— Oui, j’aime me faire baiser, Maîtresse !— Un jour, je te ferai baiser par un homme.— Fais ce que tu veux, je veux tout. Aaaaah ! Le poing était entré entièrement. — Ah, putain, c’est bon ! Je jouissais de cette sodomie profonde, le corps agité par des spasmes si violents que je craignis de tomber de la table. Mon épouse resta immobile, contemplant son poignet fiché entre mes fesses. Lentement, elle ferma le poing. Ma bite coulait comme une fontaine et mes sécrétions translucides mouillaient mon ventre. Avec délicatesse, elle massait l’intérieur de mes reins. La pression s’exerçait sur ma prostate. J’étais aux anges, autant par plaisir physique que par la réalisation de ce fantasme. Elle attrapa ma queue en semi-érection. J’étais au bord de l’orgasme. Elle approcha son visage et lécha mon membre par petites touches. Chaque effleurement me faisait tressaillir. Elle jouait avec moi, s’amusait de mes soupirs, jouissait de mon excitation. — Je t’en supplie, achève-moi. Le poing se mit à bouger doucement entre mes fesses. Elle mit la main entre ses cuisses et je compris qu’elle avait, elle aussi, atteint les limites. Je la regardai s’enfoncer trois doigts dans la chatte. J’entendais les bruits, je voyais ses doigts gluants aller et venir. Ses yeux étaient dans le vague, mais braqués sur mon cul. Plus son plaisir augmentait, plus le poing allait vite. — Je te baise, rugit-elle, je t’encule comme une chienne !— Oui, ...