1. un chien qui s'ignore 19


    Datte: 11/07/2017, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme

    Ophélie qui apparemment menait la danse et connaissait bien maitresse Laurence et sa nièce, se tapa les cuisses des mains et se leva :- Bien ! Nolwenn, tu as bien fait attention à ce qu’il ne mange rien depuis hier ?- Oh oui, il a passé son weekend attaché et il n’a mangé que des bites !(Rires général)- Très bien, on va pouvoir passer aux choses sérieuses.C’était au tour de maitresse Laurence de se lever en rabaissant sa robe le long de ses cuisses.‘- Je vais prévenir ta sœur qu’on l’attend, elle est apparemment en phase de repos’ lança t elle.- Laisse tomber, on va se débrouiller sans elle. Connaissant Horace sa bite doit encore avoir besoin d’une bonne langue’Les trois femmes autour de moi éclatèrent de rire, je passais à lécher les semelles de maitresse Nolwenn toujours assise qui demanda :‘- Elle s’est fait tringlée par Horace ?’- Pas qu’un peu ! Tu as raté plusieurs épisode ma petite ! rigolait encore Ophélie, je crois que tu as raison Nolwenn, le point de non retour est atteint !Je m’interrogeais sur le ton qu’avait pris la discussion au sujet de ma maitresse femme. Je sentais une connivence chez mes 3 maitresses. Ma maitresse femme, c’est vrai ne s’occupait pas vraiment de mon ‘éducation’, hors mis placer des croquettes et de l’eau dans ma cage. Elle profitait de mon salaire et s’éclatait de son côté, à mon grand regret.Nolwenn repris ma laisse et m’entraina à la suite des deux femmes, dans mon ancien bureau.La situation était insolite et m’inquiétait soudain. ...
    ... Quelque chose se tramait. Pourquoi ce silence complice entre ces 3 femmes ? De quoi Ophélie avait elle parlé ? Quelles étaient ces ‘choses sérieuses ?’ Que portait-elle dans sa grosse mallette ?Mon cœur battait trop fort et je commençais à trembler. Si ces trois femmes se réunissaient dans cette pièce, j’allais souffrir c’est certain !Pendant que maitresse Ophélie préparait son matériel sur mon bureau, maitresse Nolwenn me tenait fermement par la laisse. Maitresse Ophélie se comportait comme chez elle et donnait des instructions.Maitresse Laurence s’occupait de ma cage de chasteté.Elle me libéra de ma grille et de ces cerclages de fer qui collaient à ma peau depuis des semaines. J’eus l’impression d’être encore plus nu, quand ma cage fut enlevée. Mon sexe racorni retomba vers le sol. J’eus un mince espoir de libération de ma peine, quand Ophélie d’un ton impérieux donna ses instructions aux deux femmes. Elles me levèrent à l’unisson pour me hisser sur le bureau, recouvert d’un drap blanc et je me retrouvais plaqué sur le dos. Je n’eus pas le temps de réagir dans cette situation que déjà elles s’affairaient à fixer mes quatre pattes aux pieds du bureau.Je me retrouvais devant ces femmes, les cuisses ouvertes, les bras autour de ma tête, les couilles lestées reposant sur le drap. Ma fesse gauche écrasée sur le drap me lançait vivement. Malgré cela mon sexe se redressa vivement et prit toute son ampleur.Maitresse Nolwenn fur la première à éclater de rire : ‘ Regardez moi ça ! Il est ...
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