1. un chien qui s'ignore 19


    Datte: 11/07/2017, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme

    ... sorti de ma gorge) en pleurant des larmes de désespoir. Et puis la panique dans cet espace exigu me repris et je tremblais de tous mes membres.Je passe la souffrance de l’enfermement que je retrouvais à nouveau, rythmée par les ouvertures du sas à croquettes. Croquettes copieusement assaisonnées au sperme rance des amants que ma femme collectait consciencieusement. Le temps était rythmé par ma nourriture à laquelle j’avais pris gout.Enfin, vint le jour tant espéré du bruit de l’aérateur qui se mettait en marche, annonçant l’ouverture de ma cage.Comme d’habitude j’étais aveuglé par la lumière. Comme d’habitude, mes membres ankylosés refusèrent de se mouvoir.Une main me tirait par l’oreille pour me tirer de mon cloaque. Je reconnus Ophélie et tremblait.- Allé grosse merde sors de ta niche, viens nous montrer à quoi tu ressemble maintenant !Je sentis qu’elle me resserrait un collier métallique et épais froid autour du cou. Une violente secousse sur sa chaine me fit tomber en avant. Des picots à l’intérieur du collier m’étaient rentrés dans la chair. Je rampais tant bien que mal pour diminuer la tension de la chaine et la douleur. Elle avançait impitoyablement et tirais sur la chaine et m’insultant. Des fourmillements atroces dans mes membres me torturaient. Je réussis enfin à me remettre à 4 pattes ou plutôt sur les coudes et les genoux. J’avançais et suivait ma tortionnaire. Elle s’amusait à me faire tourner autour de la pièce. Je me redressais cette fois sur mes mains ...
    ... toujours insérées dans leur étui.Je réalisais que je ne connaissais pas cette pièce, ni ce lieu. Je me rappelais alors les secousses inexpliquées de ma niche et le tangage, qui m’avaient donné la nausée.Ma niche avait donc changé d’endroit.- Tu te demandes où je t’ai emmené sale con, hein ! Allez avance, dépêche toi, montres moi comme tu suis bien ta maitresse !Je regardais autour de moi, malgré la chaine qui me tiraillait, et découvrais tout un équipement aux murs d’engins de tortures : des croix, des crochets, des sangles. Des étagères étaient couvertes de harnais, de fouets de toutes sortes, de cordes, de plugs et sexes en latex démesurés. La pièce était immense. Elle m’entrainait, la nuque douloureuse dans un endroit carrelé de blanc avec une grille au sol.- Quelle grosse merde : t’es tout couvert de vieux sperme, tu sens la vieille pisse et la merde. Beurk, tu me dégoutes, je vais te décrasser au jet. Laurence m’a dit que tu adorais ça, immondice ! Reste au dessus de la grille que ta crasse s’évacue sinon je te fais lécher le sol complet !Effectivement je réalisais que maitresse Nolwenn m’avait ramené encore couvert de sperme et m’avait enfermé dans ma niche directement. Depuis combien de jours avais je du rester dans cet état, nourris de croquettes au sperme. Même mon eau était coupée à la pisse, à moins que ce ne soit de la pisse coupée à l’eau... Elle avait raison, je n’étais qu’un rebut de la société. Ma vie se résumait désormais à subir les volontés de ces trois femmes, 4 ...