1. Violette : de vierge à salope, mon apprentissage (1)


    Datte: 22/02/2018, Catégories: Divers,

    ... sinon tu vas jouir trop rapidement. Il retira ses doigts, laissant un vide qui je le savais ne serait pas encore comblé cette fois. Il me demanda si j’avais quelque chose qui ressemblait à des cordes, ou mieux des menottes. En effet, c’était drôle mais j’avais des menottes dans ma chambre, vestiges d’une blague avec mes amies lorsque plus jeunes nous lisions les conseils des magazines féminins sur "comment exciter son copain" ou "pimenter sa vie sexuelle". Elles ne m’avaient alors jamais servi, mais peut-être désormais me rappelleraient-elles cet apprentissage qui je l’espère allait changer ma vie. Je lui indiquais où elles se trouvaient, selon mes souvenirs, mais heureusement je l’entendis vite les trouver et revenir vers moi pour m’ordonner de mettre les mains dans le dos. Je m’exécutais vite, il me dit qu’il aimait les filles obéissantes comme ça en m’attachant les menottes, heureusement entourées d’une fourrure bon marché mais encore assez douce malgré son ancienneté. Il me fit me tourner et m’allonger sur le lit, sur le dos ; avec les menottes ce n’était vraiment pas confortable mais je sentis assez vite ses mains m’attraper fermement les cuisses, les écarter et je sentis alors la pointe de sa langue darder mon clitoris. Je hurlais cette fois, je n’en pouvais plus de cette attente, mon désir était à son comble. Il arrêta la pointe de sa langue pour passer à mes lèvres, j’avais l’impression qu’il dessinait goulûment l’alphabet : en effet, je pouvais sentir sa langue ...
    ... former un "A", puis un "B", lentement mais profondément, passant sa langue en appuyant et léchant ma mouille. Il continuait, je ne pouvais que gémir et écarter les jambes, pour qu’il me pénètre avec sa langue mais il persistait à rester à la surface, s’aidant de ses doigts pour me caresser et me palper le vagin. Mais comme c’était bon, j’en voulais plus mais ne pouvais rien faire ; j’étais sa petite poupée sexuelle pour l’heure. Il en était à "H", il passa sur mon clitoris d’un coup de langue presque dur : je me cambrais violemment et il me suça alors le clitoris. Un plaisir si intense, je crus que j’allais m’évanouir, mais cela ne dura que quelques secondes après lesquelles il reprit sa tâche. "I", "J", "K" et ainsi de suite, je me tortillais de plus en plus mais il serrait toujours mon bassin de façon à me plaquer le dos au lit, mes bras entravés lui facilitant grandement la tâche. Après le "O", il commença à descendre progressivement sa langue vers mon anus entre chaque lettre, il avait léché toute ma raie (et même titillé ma rosette, ce qui m’avait fait sursauter) au "U". Aux dernières lettres, je sentis un doigt mouillé s’aventurer dans mon cul. Je me fermais par réflexe mais mon professeur le sentit et alla me sucer de nouveau le clitoris ; mon corps ne m’appartenait plus, mes cris et mon orgasme m’empêchaient presque de sentir deux doigts finalement se frayer un chemin dans mon cul qui s’ouvrait tout seul. Il stoppa net son cunnilingus et je sentis ses doigts enfoncés en ...
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