La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 638)
Datte: 22/02/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
J'ai retrouvé dans mes archives quelques-uns de mes premiers et vieux textes inédits que j'avais écrit il y a bien longtemps, alors je vous les propose en ''hors série'' ! - Les aventures d'Aurélia au Château (3/4) - En effet je n’ai pas eu longtemps à attendre, moins de deux minutes à peine, Marie revient avec Monsieur le Marquis d'Evans. - Vous voyez, Monsieur le marquis, j’avais raison, cette demoiselle est une fieffée cochonne, que dis-je une cochonne ? Une garce, une salope, une chienne en chaleur. Elle m’a sucé comme une vraie professionnelle. Elle mérite une récompense… et je sais que vous allez vous faire un plaisir de la lui donner. Je ne pense pas que les préliminaires soient vraiment utiles. Elle est déjà bien excitée et là elle vient de me faire une gâterie, elle est toute chaude, vous pouvez la prendre tout de suite. Allez ma salope, mets-toi à quatre pattes sur le bord du lit… - Tu as raison Marie, elle a l’air de mouiller grave, comme disent les jeunes ! Je vais quand même la lécher un peu avant pour lui lubrifier le con… quelle croupe ! J’ai les mains qui fourmillent… Elle est vraiment à mon goût ! Quel cul ! - Je connais bien vous goûts, Maître. Mais c’est vrai que celle-ci à un derrière qui vaut largement son devant, car ses mamelles ne sont pas mal non plus. A nouveau, ils parlent de moi, comme d’une marchandise et ça m’excite. Je suis toujours à genoux au bord, sur mon lit, dans l’attente de la queue de Monsieur le marquis… et ils papotent me détaillant ...
... de la tête aux pieds comme s’ils voulaient me vendre sur le marché ! Enfin, Monsieur le Marquis d'Evans approche, se baisse légèrement et avec sa langue, il me la fourre longuement entre les cuisses, passant sa main en même temps sur ma raie et mon anus qu’il masturbe en de petits cercles. Je suis aux anges. J’étais déjà bien humide, mais là je dégouline. J’exprime de longs gémissements de plaisirs. Puis sa langue s’arrête, il se redresse et deux mains se positionnent sur mes hanches et une bite, bien gonflée, dure, pénètre mon salon de plaisir. Que c’est bon de sentir une grosse queue d’homme dans sa grotte ! J’ai adoré me faire lécher de partout mais rien ne vaut un mâle bien monté qui vous ramone la cheminée… Ce n’est pas possible comme mes pensées sont obscènes… il faut dire à ma décharge que ça faisait des mois que je n’avais pas été baisée… enfin je veux dire par un homme ! Car depuis deux jours ça n’arrête pas la bagatelle ! Marie qui regarde doit lire dans mes pensées : - C’est bon, hein ma salope ! Tu aimes ça te prendre une bonne bite dans la chatte ? Vas-y profite, Monsieur le marquis est un bon baiseur et je sais de quoi je parle !. Il sait taquiner la pétasse… Et elle encourage son Maître, en se déchaînant verbalement sur moi : - Astiquez-la bien, cette chienne, montrez-lui qui est le Maître. Bourrez-la profond. Après ça, vous pourrez en faire ce que vous voudrez… Je le sais bien, ce genre de greluche, même si le gouinage ne lui déplait pas, même si elle redemande ...