La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 638)
Datte: 22/02/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... tu me le demandes. J’avoue que j’ai la queue qui va exploser à force de les regarder faire les cochonnes. - Prends-moi le cul, dit David, je vais pendant ce temps me farcir cette chienne de Marie. On va faire une file à la queue leu-leu, dit-il en éclatant de rire. Maître ne se l’est pas fait dire deux fois. Il a attrapé son compagnon par les hanches et planté son pieu dans sa caverne sombre, après avoir enduit sa bite de lubrifiant et enfilé une capote. Nous avons atteint l’orgasme en cascade, je fus la première, suivit de peu par Rose et Marie. David et Maître explosèrent en même temps.Que c’est bon d’avoir à faire à des experts de la baise. Ce n’est pas avec mon jeune puceau de premier amant que j’aurais connu de telles jouissances. Marie avait raison, je suis faite pour l’amour, j’adore ça. Il ne me reste plus grand-chose à découvrir… C’est du moins ce que je croyais… car un autre soir après avoir copulé joyeusement : - Cela fait trop longtemps que tu te conduis comme une vilaine fille, dit Maître Sir Evans. Tu penses que c’est bien de te balader quasiment à poil dans le château ou dans le parc, d’émoustiller cette pauvre Marie. Tu profites que Rose vienne pour te faire sucer comme une chienne, sous prétexte de calmer ton excitation. Tu acceptes de soulever tes jupes pour te faire baiser n’importe où et n’importe quand ! On te demande de sucer et toi sans réagir et même en y prenant du plaisir tu suces. Tu n’as aucune retenue, aucune pudeur, aucune morale. !! Tu es une ...
... véritable salope !! Je ne comprenais rien à ce qu’il me disait avec tous ses « faux arguments ». J’avais tout accepté, car c’est ce qu’il attendait de moi. J’étais devenue la salope dont il rêvait, et voilà qu’il me le reprochait. Vraiment j’étais abasourdie par tant d’injustice. Les larmes me montaient aux yeux. - Tu peux avoir honte, renchérit David. Tu n’es qu’une chienne en chaleur. Tu mérites une punition. Marie va chercher ce que tu sais et rejoins-nous dans l’annexe au fond du parc. Quant à toi, approche. Baisse la tête et arrête de pleurer. Il est bien temps. J’étais là au milieu du salon, complètement nue, avec seulement des escarpins, nous venions de baiser comme des bêtes. Pendant que David prétextait des « faux reproches », Monsieur le marquis me glissait un bandeau sur les yeux et menottait mes poignets dans le dos. Ensuite je sentis qu’il me passait un collier autour du cou. Il devait y avoir une laisse, car une chaîne glacée se plaça entre mes seins et le long de mon ventre. Quelqu’un attrapa le lien : - Avance, chienne, gronda Maître. Droit devant toi. Tu ne risques pas de tomber, je te guide. J’ai bientôt éprouvé une petite fraîcheur, qui m’a fait comprendre que nous étions dans le parc du château. Nous avions déjà batifolé dehors et je savais que personne ne pouvait me voir, pourtant j’étais gênée. J’avais honte d’être la proie consentante de ce couple d’homos. Encore là, alors qu’ils m’humiliaient, j’éprouvais une certaine jouissance. J’étais vraiment une ...