1. Enfin un peu de soleil


    Datte: 22/02/2018, Catégories: fh, couple, fsoumise, Oral fsodo, amourpass,

    ... rencontraient, doucement d’abord puis bien vite plus passionnément, avec toute la fougue que nos corps contenaient depuis trop longtemps. Elle se retournait alors, me regardait droit dans les yeux et me disait « Tu n’as pas besoin d’être tendre avec moi. Pas aujourd’hui. Je suis ta salope, ta petite pute, ta suceuse et ton esclave. Prends-moi comme bon te semble car je n’ai pas à décider. C’est toi le maître. ». Cette phrase était comme un coup de tonnerre pour moi, faisant vibrer chaque parcelle de mon corps et gonflant mon sexe d’envie. J’attrapais alors ses cheveux d’une main tandis que l’autre remontait sa jupe et agrippait l’une de ses magnifiques fesses rondes. Je m’insinuais entre ses fesses et descendais jusqu’à toucher l’entrée de sa grotte intime, déjà humide d’excitation. Ma main gauche tirait ses cheveux pour pencher sa tête en arrière afin que ses yeux soient plantés dans les miens. Alors que les doigts de ma main droite partaient à la recherche de son clitoris, Lili commençait à prendre des initiatives en allant à la rencontre de ma ceinture. Je lui claquai alors les fesses fermement. — Qui t’a autorisé à faire cela ? lui demandai-je— Pardon. J’avais oublié ma place. Je vous assure que cela ne se reproduira plus. Ce soudain passage au vouvoiement me troublait. Une partie de moi trouvait cela ridicule, mais le reste de ma personne avait envie de jouer le jeu, de pousser le vice jusqu’au bout. Je lui répondis alors : — Bien, cela ira pour cette fois. Mais ...
    ... rappelle-toi que tu es MA salope et que tu obéis à MES ordres. C’est compris ?— Oui.— Je vais m’en assurer. Va me chercher un de tes foulards. Un sourire sur les lèvres, elle s’exécuta. Je lui attrapai alors les poignets et les nouai dans son dos, de façon à ce qu’elle puisse toujours se détacher d’elle-même, mais non sans difficulté. — Maintenant, reprenons. Je me plaçai cette fois debout derrière elle et l’entourai de mon bras, la main sur son ventre. De l’autre, je caressais ses fesses avec excitation, en lui assénant de petites claques de temps en temps. Pendant ce temps, ma main gauche était partie à l’exploration de son mont de Vénus et descendait doucement vers son clitoris. Lorsque mon majeur effleura celui-ci, le corps de Lili fut pris d’un léger sursaut. Je sentis sa respiration changer de rythme pour devenir plus rapide et saccadée. À mesure que mes caresses se faisaient plus précises et que son plaisir augmentait, je sentais ses bras se débattre et ses mains tenter de se libérer afin de venir se poser sur la bosse qui déformait mon pantalon. Mais notre position lui interdisait l’accès, puisque ses mains – bien que dans son dos à l’instar de mon corps – étaient séparées de mon sexe par mon bras, toujours placé entre ses fesses afin que ma main puisse aller à loisir sur son clitoris. De plus, elle avait à nouveau pris des initiatives que je ne lui avais nullement autorisées. Une nouvelle claque vint donc rougir un peu plus ses fesses. — Tu as encore désobéi, lui dis-je à ...
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