1. Enfin un peu de soleil


    Datte: 22/02/2018, Catégories: fh, couple, fsoumise, Oral fsodo, amourpass,

    ... Cette fois, lorsque mon gland se posa sur sa rondelle, je ne me fis pas prier et commençai à pousser doucement. Très attentif à ses réactions, je tâchai de ne lui provoquer aucune douleur, ou en tous cas de limiter celle-ci au maximum. Lorsque le gland entra en entier, elle poussa un grognement sourd. — Ça va ? Tu veux que je m’arrête ?— Non, non, continue ! Mais vas-y doucement. Devant l’intensité de la situation, notre discours était revenu à un niveau plus fondamental. Celui de deux personnes amoureuses cherchant à vivre des aventures fortes, sans jamais vouloir voir l’autre souffrir. Je continuai donc la première pénétration de notre première sodomie, dans ce trou plus serré que je ne l’aurais imaginé. La sensation qui s’imprimait sur mon sexe était extraordinaire et je savais que je ne pourrai plus m’en passer. — Oh mon amour, c’est tellement bon ! lui dis-je avec difficulté tant le plaisir m’envahissait.— Tant mieux, j’en suis heureuse ! Je sentis dans sa voix que le sien n’était pas à la hauteur, comme nous l’avions craint lors de nos discussions. Préparé à cette éventualité, je saisis « Bruce » et lui fis à nouveau rencontrer le clitoris de ma bien-aimée, laquelle se cambra immédiatement de plaisir. Je pus immédiatement la pénétrer plus facilement, le plaisir aidant à se détendre et à relâcher la pression sur mon sexe. Ce dernier était ainsi arrivé à mi-chemin lorsque je décidai de commencer des va-et-vient lents et tendres dans le cul de Lili. Petit à ...
    ... petit, et à chaque poussée, je m’aventurais un peu plus loin jusqu’à ce que mon bas-ventre vienne se coller contre ses fesses et que mes couilles tapent contre elles. L’œuf vibrant toujours entre ses cuisses, Lili pouvait ainsi prendre aussi son pied, amplifié par l’excitation que cette sodomie lui procurait. Après quelques minutes où j’enculai profondément ma salope qui, les bras toujours liés dans le dos, criait de plaisir, je sentis un orgasme cette fois inexorable poindre. Comme à mon habitude, je la prévins : — Mon amour, je vais jouir… lui chuchotai-je dans le creux de l’oreille.— Oh oui, viens dans ma bouche ! me répondit-elle. Je sortis presqu’à regret de ses fesses, impatient d’y retourner, et la basculai sur le dos. Je vins ensuite ma placer à califourchon sur elle et me branlai entre ses seins tout en continuant de la masser avec l’œuf vibrant. Lorsque la jouissance fut là, je lui dis simplement… — Ouvre la bouche. … et déversai en elle de longs jets de sperme, alors qu’un orgasme foudroyant la dévastait en même temps. Nous jouîmes pendant de longues secondes et je lui remplis la bouche alors que son visage se recouvrait du trop-plein que mes couilles avaient accumulé pendant que je l’enculais. Lorsqu’enfin nos orgasmes se calmèrent, Lili déglutit et avala ma jouissance. Nous nous regardâmes alors en riant. Moi, le sexe ramollissant, posé sur ses seins et elle, les mains dans le dos et le visage recouvert de sperme, nous riions. Et nous nous aimions. 
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