1. Histoire de jardinage et de voisins


    Datte: 24/02/2018, Catégories: Gay Humour, Partouze / Groupe

    ... plaisir à voir. Droit, gonflé, tendu tel un chêne hors du sous bois mal entretenu, il pourrait avoir à peine vingt ans. Et que dire lorsque Léa s'assure de la main puis des lèvres de la réalité de l'objet.Je comprends l'excitation que le mari a du ressentir en voyant sa femme en sucer un autre. L'alcool est une piètre excuse. La Léa qui me goûte est à jeun, mais dieu que c'est bon. Elle est loin de la gorge profonde que me fait la pute que je vais voir depuis le décès de ma femme. Mais c'est sa fraîcheur, son envie patente de bien faire et surtout cette impression que ma queue raide est une merveille qu'elle a une envie folle de pomper qui apportent le petit plus et amplifie le plaisir de la fellation. Elle vient maintenant me chevaucher, et ma queue guidée par deux doigts délicats se place à la porte de la fente. Elle descend lentement sur mon mât dressé, appréciant comme moi le long cheminement dans sa grotte. Voilà, elle pèse de tout son poids sur mes cuisses, écrasant mes bourses de la tendre fermeté de son fessier. Elle est belle et chacun de ses seins est souligné d'un triangle blanc dont le téton dressé marque le centre. Les triangles bougent, suivant le lent va et viens du corps sur ma queue engloutie. C'est magique. Mais la belle ne se satisfait plus de son mouvement maîtrisé et rapidement sa possession prend un rythme plus soutenu et parfois désordonné au point que ma bitte découvre par moment la lumière du jour.Heureusement, telle une torpille guidée sur sa ...
    ... cible, elle retrouve la chaleur du con, si chaud et humide. La belle harmonie des seins en mouvement se déchire, mais ce que les yeux perdent dans cette vision, la sensualité de leur balancement désordonné magnifie la fureur de cette femme qui se baise maintenant sans retenue. Les chairs claquent. La peau suinte. Le floc-floc des humeurs intimes distille un érotisme torride. Je me concentre pour ne pas venir trop vite et attendre que ma cavalière jouisse. Sa respiration est de plus en plus rapide et soudain elle s'effondre sur moi en gémissant, abandonnant ses va et viens rapides pour des oscillations du bassin. Son souffle me brûle le cou, des mots sans suites semblent s'expulser de ses lèvres et sans prévenir elle vient m'embrasser avec fougue, comme si elle comptait sur mes lèvres pour étouffer ses cris. Ses oscillations ralentissent. Sa jouissance passe. Je peux enfin me laisser aller et me lâcher au plus profond de sa grotte, libérant des litres de foutre que l'abstinence et ma divine maîtresse ont suscités.Le temps du plaisir passé, nous nous sentons un peu mal à l'aise, surpris de ce déferlement de sensualité. Je la quitte. Nous nous saluons déjà comme si rien ne s'était passé. J'hésite à repasser chez mon fils pour guetter le retour du mari. Mais je ne veux pas devenir le voyeur de ce jeune couple. D'ailleurs va-t-elle lui parler de cette aventure. Et si elle lui dit, va-t-il la croire. Une enquête un dimanche ? Que reste-t-il de mon passage si ce n'est un magazine de la ...
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