Histoire de jardinage et de voisins
Datte: 24/02/2018,
Catégories:
Gay
Humour,
Partouze / Groupe
... en pleurer. J'ose juste la question qui me taraude depuis ce jour.Et votre mari ? Vous lui avez dit ?D'un seul coup elle redevient sérieuse.Non. Je n'ai pas osé. D'ailleurs il ne m'aurait pas cru. En plus, « et je découvre une Léa timide, baissant les yeux comme fautive, » vous étiez si...Vieux. Je complète sa phrase. Vous avez raison il aurait pu mal le prendre.Mais, elle réagit aussitôt.Non, non, ce n'est pas du tout ce que je veux dire. Je ne pensais pas à cela. Votre âge. Mais quel âge ! Non, ce que je veux dire c'est que cela avait été un moment très bien, très bon. Trop même. Vous aviez été si... J'avais... En réalité j'avais un peu honte d'avoir eu tant de plaisir avec vous.Quel homme ne rêve pas d'entendre un si doux aveu. Avoir apporté tant de plaisir à une femme qu'elle se sent coupable. Que répondre. Rien bien sur. Mais Léa semble se reprendre.J'aurais du lui dire. Vous savez, j'avais raison il était bien allé rejoindre Béatrice. C'est sa maîtresse. D'ailleurs j'imagine qu'il est avec elle.Je suis un salaud. Je ne pense qu'à profiter de la faiblesse des autres. Une main sur le genou de Léa, l'autre qui caresse sa joue, je ne peux que dire.Voulez vous que je reste un peu ?La réponse est sans parole. Juste la tête qui se penche un peu pour mieux se caler contre ma paume et un genou qui se détache de son jumeau suggérant une opportunité. Mais le regard n'est pas celui d'une femme trompée ou délaissée, c'est plus celui d'une maîtresse qui se lève et sans un mot retire ...
... la robe qui lui allait si bien. Je découvre alors qu'elle ne portait rien dessous, corps nu disponible à la moindre sollicitation. Je comprends la prudence de mon fils pour m'avoir fait venir et être le paratonnerre de la colère jalouse de sa copine qui aurait pu être méritée. Mais moi, personne ne peut plus me faire de reproches. Mieux, j'ai privé Léa de sa proie et suis volontaire pour en subir les conséquences. La punition est bien douce de me laisser dévêtir par cette femme qu'une ardeur retenue pendant trop longtemps rend maladroite. Qui va recoudre les boutons de chemise que son impatience fait rouler sur la moquette ? Oh, je trouverai bien une âme charitable parmi les amies de mon épouse regrettée.Elle m’entraîne à l'étage par un « Viens, montons, nous serons mieux dans la chambre », me pousse sur le lit et vient aussitôt saluer ma verge avec ses lèvres. Elle découvre ma queue déjà en pleine forme alimentée et durcie un peu plus à chaque marche de l'escalier, alors que mes yeux s'enivraient du spectacle de la croupe de Léa. Le syndrome de « la montée de l'escalier » n'est pas une légende. La gourmande me pompe. Espérons que sa salive va refroidir ma bitte et éviter que les vapeurs d'alcool viennent s'enflammer spontanément au contact du pieu rougeoyant. Une musique. Nous sursautons. Pour un peu, sous la surprise, ma suceuse aurait pu me mordre jusqu'à l'os. Décidemment je vis dangereusement. Léa att**** son portable. Les jeunes m'étonneront toujours. Nous avons monté ...