Section TG (3)
Datte: 24/02/2018,
Catégories:
Transexuels
... cherchant bien, on aurait pu voir les symboles superposé du mâle et de la femelle, symbole qui désignait parfois les transsexuels. Toutefois, comme nos visages étaient connus, personne ne nos adressa la parole. Nos chaperons déjeunèrent avec nous, non pas pour faire la conversation, mais pour corriger et féminiser notre comportement. L’après-midi fut consacré au maquillage. Un spectacle comique pour nos instructrices. Finalement, on enleva fard et rouges à lèvres mais on conserva notre vernis et on retourna diner, toujours en uniforme. Il ne fallut pas moins de deux semaines intensives pour qu’on réussisse à devenir ce pour quoi on avait été enrôlées de force. S’habiller, se maquiller plus ou moins discrètement, marcher et courir avec des talons hauts bien sûr, mais surtout arriver à parler de soi au féminin. Les coups de badine à chacune de nos erreurs firent des merveilles. Nous n’avions plus de gêne à nous afficher en public, en uniforme au début, en civil ensuite. On commençait à attirer les regards, surtout si portait des jupes étaient un peu courtes et perchées sur dix centimètres de talons aiguille. Ce petit jeu nous amusait de plus en plus. Un sorte de revanche car personne n’avait le droit de nous parler. Dès lors, après la gym ou le footing en salle du matin, on avait droit à quarante-cinq minutes pour nous doucher, nous changer et surtout nous maquiller. Les cours reprirent, avec cette fois une formation d’informatique clairement orientée piratage et plus ...
... étonnante, une formation tactique pour apprendre à planifier des opérations d’approche et d’infiltration. L’été avait commencé. On n’avait plus remis le nez dehors depuis le stage de survie. Le bâtiment s’était un peu vidé. Même les militaires avaient droit de partir en vacances. Sauf nous. Le nombre de comprimés que prenait le matin avait diminué. On faisait aussi moins de sport. De fait, nos muscles saillants commençaient à disparaitre sous une fine couche de graisse. C’est aussi ce moment que l’on prit conscience des changements provoqués par les hormones féminines. On avait un peu plus de hanches, mais c’était nos seins qui devenaient plus que visibles. Et sensibles. Un matin, je me réveillai un peu avant la sonnerie militaire. J’émergeai doucement lorsque je sentis que quelque chose n’allait pas, que ce n’était pas comme avant. Je glissai ma main sous le drap. — C’est pas dieu possible ! dis-je à haute voix. Je bande ! Ma première érection depuis longtemps. Trop heureuse, je profitai de cet état de grâce pour me masturber. Je pensais à Joëlle, Fabienne, Carine nos instructrices féminité, mais surtout à Sophie. J’éjaculai très vite. Le week-end passa. Mes camarades de promo aussi avaient constaté ce changement. Le trio revint nous voir vérifier si on avait tout compris. Elles montèrent dans nos chambres pour une inspection. Sophie fit son entrée à ce moment-là. — Alors, comment vous vous sentez ? demanda-t-elle. rcxrbbut — Bien, dis-je. On a finir par s’y faire à cette nouvelle ...