1. La lionne, la chevrette et le guépard


    Datte: 24/02/2018, Catégories: fh, inconnu, Masturbation Oral totalsexe,

    ... un sourire pervers lui fendit le visage… Il allait s’amuser… Il prit son verre en main, se leva et marcha, lentement, vers les deux filles. De sa belle voix de baryton, il leur demanda s’il pouvait s’asseoir à leur table. Karin, avec un regard de reine condescendante, daigna lui accorder ce privilège. Sa victoire était trop facile, mais à sa grande surprise Gilles la remercia poliment, presque froidement, se présenta et s’assit entre elles en se tournant ostensiblement vers Valérie, qu’il enveloppa d’un sourire tendre. Valérie, ébaudie, ne savait pas quoi dire, que faire… un si bel homme qui s’intéressait à elle… elle regardait Karin du coin de l’œil, se demandant quand son rêve allait se terminer, dans combien de temps il la délaisserait… elle n’arrivait pas à y croire… Gilles se montra drôle, la fit rire puis la fit parler, et elle lui conta son goût pour les voyages lointains, son attrait pour les philosophies orientales. Il fit l’intéressé, demandant des précisions, riant aux anecdotes que Valérie lui narrait. Négligemment, il posa sa main sur celle de la jeune femme, qui sentit un frisson la parcourir. Le spectacle de ce rapprochement complice faisait enrager Karin. Elle tenta de se mêler de leur conversation, de parler de ses diverses expériences sportives, mais Gilles la regardait d’un œil indifférent avant de se retourner vers Valérie, que ne quittait plus le plus béat des sourires. Sortant le grand jeu, Karin plaqua sa cuisse contre celle de l’homme mais celui-ci ...
    ... s’écarta pour se rapprocher davantage de Valérie et entourer ses épaules de son bras. Quand Karin vit la tête de l’homme se pencher vers le cou de Valérie pour y déposer un baiser, elle devint comme folle ; elle déclara que l’endroit était en dessous de tout, qu’elle s’y emmerdait, se leva et partit. Gilles mit à profit cette intimité pour déplacer ses lèvres du cou de Valérie vers sa bouche, en profitant de la pénombre pour glisser une main dans son corsage et lui taquiner les tétons, la faisant haleter… Certes, ses seins n’étaient pas d’airain, mais ils réagissaient bien, se montraient très réceptifs à ses caresses. La jeune femme voyait sa pudeur s’enfuir à tire-d’aile et s’abandonnait à l’audacieux qui, maintenant, la pelotait sans vergogne ; mais quand il retira sa main de ses seins pour l’enfoncer entre ses cuisses, elle poussa un petit cri de surprise et de plaisir mais, retrouvant dans un sursaut le sens des convenances, elle lui dit : — Arrête… allons chez toi… Tu habites loin ?— Chez moi, impossible. Et chez toi ? Valérie était embarrassée (qu’allait dire Karin ?), mais l’occasion, bien trop belle, fit la luronne… Enlacés, même s’ils s’arrêtaient souvent pour s’embrasser et se caresser partout, ils furent très vite arrivés à l’appartement où ils se ruèrent vers la chambre de Valérie, vers son lit qui leur tendait les draps, en omettant, dans leur hâte érotique, de refermer la porte. Conquérant, Gilles allongea Valérie sur le lit, lui retroussa cavalièrement la jupe, ...