1. La lionne, la chevrette et le guépard


    Datte: 24/02/2018, Catégories: fh, inconnu, Masturbation Oral totalsexe,

    ... lui retira sa petite culotte et plongea sa tête vers son sexe velu qu’il lapa, suça, mordilla avec un enthousiasme non feint. Valérie rattrapait le temps perdu et se mit à se tortiller sous les coups de langue de son amant. Elle respirait de plus en plus vite et de plus en plus fort, puis poussa un petit cri, comme surprise, puis un autre, plus long, pour confirmer son plaisir, puis un troisième, encore plus long, incontrôlé, pour accompagner son orgasme. Gilles termina de la déshabiller, se dévêtit à son tour, s’allongea à côté d’elle et recommença à lui caresser, lui sucer les nichons tout en lui fourrant son sexe dans la main pour qu’elle apprécie la fermeté de ce qu’il s’apprêtait à lui enfoncer dans le ventre… Il lui écarta les jambes, envoya un doigt en éclaireur pour s’assurer de la qualité de l’accueil et, rassuré, il s’allongea sur elle. Badin, il agita son gland devant l’entrée, comme s’il hésitait à aller plus loin… Valérie, allongée, les cuisses ouvertes, le sexe hurlant de faim, supplia Gilles d’enfiler sa bite dans son yoni (sic), ce qu’en bon missionnaire il fit, d’un mouvement lent mais décidé, provoquant chez sa maîtresse un profond soupir de femelle pénétrée et satisfaite. En une charge de hussard, il entama dans le ventre de la femme une marche légère suivie d’un trot plus enlevé, pour terminer par un galop des plus emportés, qui provoquèrent chez sa partenaire de bruyantes marques d’enthousiasme. Karin, énervée, humiliée, s’était couchée, nue, et ...
    ... ruminait sa défaite dans son lit en essayant vainement de se concentrer sur un roman. Elle avait tenté, en vain, de se masturber avec son gode préféré, mais le cœur n’y était pas : l’objet paraissait bien mièvre rapporté à la verge chaude et vivante qu’elle imaginait poindre du ventre du bel indifférent. Quand elle entendit Valérie rentrer, elle se prit à rêver qu’elle avait été délaissée par le beau gosse, mais quand elle entendit des gémissements de plus en plus soutenus, puis des petits bêlements de chevrette apeurée, de plus en plus forts, elle n’eut plus de doutes : Valérie était en train de se taper le mec ! Mais une telle femme ne pouvait accepter une telle humiliation ; son esprit se rebellait, encouragé, surchauffé par le feu qui brûlait son corps de reine insatiable. Un éclair de folie la fit se lever, sortir de sa chambre, se rendre dans la chambre d’en face. Les yeux hagards, elle vit l’homme allongé sur son amie, et pas sur elle… des fesses musclées qui montaient et descendaient au-dessus d’un corps qui n’était pas le sien et qui faisaient pousser à son amie des cris qu’elle-même aurait voulu pousser… Dans un dernier mouvement, dans un dernier rugissement, Gilles jouit dans le ventre de Valérie puis se laissa retomber à côté d’elle, qui le contemplait d’un regard de femme satisfaite, repue, presque amoureuse. En découvrant la présence de Karin qui les regardait, éperdue, il ne put s’empêcher de sourire et de porter un regard, sincèrement admirateur, sur le corps ...