1. Ciné folie Chapitre 1(Trouvee sur le net)


    Datte: 24/02/2018, Catégories: Anal Partouze / Groupe Hardcore,

    Claude dit:Ok! Et tu n’oublies pas, tu me racontes.Sandrine dit:Promis, je te raconte.J’éteins mon ordinateur. Je viens de passer une heure, sur MSN, avec un type super sympa. Nous nous sommes chauffés par un dial. Bouillant, et, chacun de notre côté, nous nous sommes donnés du plaisir. Mon excitation est telle, que sans réfléchir et pour avoir une pointe d’humour, je lui ai dit que j’avais envie de me faire baiser, et que j’allais aller dans un ciné me faire draguer. Claude ne compris pas qu’il s’agissait de paroles en l’air, et sembla très surpris par mon envie, mais finit par me dire que c’était cool, et bien sûr de le tenir au courant. Et si je le faisais vraiment? Aurais je le courage de jouer les salopes? Jusqu’où suis je capable d’aller?Le meilleur moyen de le savoir, est de passer à l’acte. C’est ainsi que je me retrouve sur le quai du métro, habillée d’un pull rose moulant, d’une jupette plissée, de bas et de bottes, le tout caché pour l’instant d’un long manteau simili cuir. J’ai bien sûr omis de mettre des sous vêtements. Les courants d’air, parfois, s’engouffrent sous ma jupe et caressent doucement ma petite chatte. Hummmm! J’adore ça, mais je prends garde à ce qu’un vent coquin ne me met pas les fesses à l’air. Le souffle frais fait dresser mes tétons qui, de plus, sollicités par le frottement de mon pull, déforme celui-ci et ne laisse aucun doute sur mon état d’excitation déjà bien avancé.Station «Strasbourg saint Denis». Je sais exactement où je vais. Je suis ...
    ... passée plusieurs fois devant un petit ciné de quartier, sûrement un des derniers, qui passe en boucle de vieux films d’épouvante. Un ami qui l’avait fréquenté, ne m’en n’avait pas dit que du bien, décrivant cet endroit comme étant miteux et pas très bien fréquenté. Bref! Sûrement pas un endroit pour une femme, donc… parfait pour une aventurière comme moi.La femme sans âge qui tient la caisse, en écoutant une vieille radio à piles et en lisant«VOICI», ne daigne même pas lever les yeux sur moi. Quelque part, c’est rassurant, puisqu’elle n’est pas surprise qu’une femme seule veuille entrer dans son cinéma. Un peu nerveuse tout de même, je ramasse mon billet et ma monnaie. Un escalier abrupt d’une quinzaine de marches descend vers une porte avec un hublot, comme sur les bateaux. Le cœur battant, je pousse la porte, qui bien sûr, grince. Le contraire fut étonnant. Sur l’écran, une jeune fille se fait vider de son sang par un vampire. La salle est encore invisible pour moi, mes yeux n’étant pas encore habitués à la pénombre. J’aperçois tout de même les trois marches restantes pour atteindre l’allée. Je fais deux pas à tâtons, et touche un fauteuil. Je quitte mon manteau, que je plie en deux, et me glisse dans la rangée pour atteindre un fauteuil bien centré à l’écran. En fait, le film ne m’intéresse pas du tout, je suis plus occupée à écarquiller mes yeux pour voir ce qui m’environne, que de regarder cette pauvre fille se vider.Petit à petit, la salle m’apparaît. Une allée sur le ...
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