Ciné folie Chapitre 1(Trouvee sur le net)
Datte: 24/02/2018,
Catégories:
Anal
Partouze / Groupe
Hardcore,
... côté gauche qui monte en pente douce vers l’écran, pour rejoindre un escalier, qui, je suppose, mène aux toilettes, et une cinquantaine de rangées de fauteuils. C’est pour l’instant tout ce que je distingue. Une image, plus claire, illumine la salle. Je peux enfin évaluer le nombre de spectateurs présents. Une dizaine de personnes occupent les premiers rangs, et cinq ou six sont dispersés plus prêt de moi. Bien sur, comme je m’en doutais, il n’y a que des hommes. Je trouve mon pull rose trop voyant, je dois faire une tâche claire sur l’ensemble de la salle. Je n’ose pas me retourner pour voir s’il y a quelqu’un derrière moi, car je pense qu’il y a encore plusieurs rangées de fauteuils. Je sens quelques regards se poser sur moi.Les mains croisées, posées sur mon manteau bien plié sur mes genoux, me donne l’impression de renvoyer une image de petite fille sage. Je sens ma poitrine se soulever à chaque respiration, et me donne la sensation que l’on ne doit voir que ça. Le pull moulant doit faire ressortir mes seins. Le fait d’y penser fait dresser mes tétons, qui maintenant à leurs tour doivent être voyant. Le rouge me monte aux joues.Mon cœur cesse de battre. Un homme d’une soixantaine d’années, cheveux blanc, encore bel homme, vient de rentrer dans ma rangée, et s’assoit près de moi. Il devait être déjà là dans le cinéma, derrière moi, car je n’ai pas entendu la porte grincer. Il a dut m’apercevoir et s’est levé pour me rejoindre. Alors, il est près de moi volontairement? ...
... J’ai la trouille. Ma pauvre Sandrine dans quel pétrin t’es tu fourrée… Qu’est-ce que je fais? Je me lève et je m’en vais? Et j’aurai fait tout ce chemin pour rien, non, c’est trop bête. Je suis là, et bien il ne me reste qu’à assumer. Facile à dire. J’essaie de me détendre en me disant que je suis en train de paranoter. Mais le pied qui vient de se coller à ma botte, me prouve le contraire. Je suis parcourue par un frisson, et je me sens glacée. Je sens sa jambe se rapprocher de la mienne. Le tissu de son pantalon frôle mes bas. Sans bouger la tête, je baisse les yeux. Je vois qu’il est assis profondément dans son fauteuil, jambes écartées, les mains sur ses genoux. Je relève les yeux, et noie mon regard dans l’écran. Je suis au bord de la panique. Du bout de son petit doigt, il touche mon genou et le caresse tout doucement, presque imperceptiblement au début, un peu plus fort maintenant. J’ai la sensation que mon cœur va se décrocher.Voyant que je ne réagis pas, il remonte un peu son doigt, et fait rentrer en jeu son annulaire. Je n’ose même plus respirer normalement. Il continu son avancé avec son majeur, puis son index et pour finir, bien sûr son pouce. Sa main est maintenant posée sur mon genou, sous mon manteau. Il ne semble pas sur de lui, peut être a-t-il peur aussi. Il ne bouge pas, seul son pouce monte et descend sur mon genou. Sans le regarder, je vois son visage se tourner légèrement vers moi. Je dois être écarlate. Comme pour m’appeler, il me fait deux petites ...