1. Petite annonce


    Datte: 24/02/2018, Catégories: fh, Oral pénétratio,

    ... je m’inquiète, car la précédente femme que j’ai aimée et qui m’a quitté avait un peu le même style de comportement. Puis je me dis que l’histoire ne bégaye pas. Nous sommes chez elle, nous venons de revenir du cinéma. Le film n’était pas génial ; une fois de plus, les critiques ont copiné envers les grands acteurs qui jouaient, pardon, qui surjouaient dedans. L’important est que je sois avec elle. La cafetière achève son cycle. Nous discutons un peu de tout. — Sers-nous deux tasses, j’ai un truc à faire en haut, me dit-elle en quittant la pièce.— Ok, grande ou petite, ta tasse ?— Moyenne ! C’est très fin comme réponse ! Je vais vers le canapé, posant les deux tasses sur la table basse, comme c’est devenu notre habitude quand je vais chez elle. Chez moi, il en est de même, le même rituel du canapé-café. Je m’installe, les deux tasses fument, j’attrape le programme télé pour jeter un coup d’œil distrait sur les pages d’information du début. Rien que de la presse people… et encore ! Des inconnus devenus, soi-disant, stars parce qu’ils sont passés à la télé, jetés en pâture à un public avide. Je l’entends qui descend. Je pose le journal et j’attends qu’elle s’encadre à la porte du salon. Elle est vêtue d’un peignoir rouge en soie, ses cheveux roux en harmonie avec le tissu chatoyant. J’entrevoie la courbe d’une jambe dans l’entrebâillement de sa tenue légère. J’ouvre de grands yeux, j’apprécie fort cette vision. Quand elle s’assied à l’autre bout du canapé et qu’elle se penche ...
    ... pour attraper sa tasse, je distingue parfaitement sa poitrine offerte aux courbes lourdes entre le V échancré du haut de son peignoir scintillant sous les spots du salon. Sans dire un mot, elle boit sa tasse, moi, je la regarde, savourant ce qu’elle m’offre. Elle pose d’un geste négligé sa tasse sur la table basse. Je n’ai pas touché à la mienne. L’air est comme électrique, suspendu. D’un bond, elle se colle à moi, prenant ma tête entre ses mains et m’embrasse fougueusement. Je ne reste pas longtemps de marbre, je l’enlace, sentant distinctement sa peau sous mes doigts avides à travers la soie fine. Ça me fait tout drôle de sentir la double sensation douce de la soie et de sa peau, ça décuple au passage mon envie d’elle, de ces quinze jours à la côtoyer sans franchir le pas, sans parler des semaines, des mois d’avant. De plus, comme c’est elle qui a ouvert le bal, autant danser la valse jusqu’au bout. Une de mes mains descend vers ses cuisses, j’ai hâte de les posséder, d’en épouser les formes pleines. Mes doigts s’accaparent de sa chair nue, de ses courbes rebondies. Ma paume s’étale sur sa cuisse fraîche afin de la couvrir le plus possible, elle remonte ensuite vers sa hanche douce avant de frôler le creux de sa chute de reins. Mon autre main enlace sa taille plus fort tandis que nos bouches fusionnent, nos langues emmêlées. De son côté, Céline ne reste pas inactive, ses mains plongent dans mes cheveux courts, dans ma nuque, mon dos qu’elles griffent furtivement. Ses doigts ...
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