1. L'apprentie


    Datte: 24/02/2018, Catégories: fh, fhhh, couplus, nympho, forêt, boitenuit, douche, collection, amour, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, noculotte, vidéox, photofilm, BDSM / Fétichisme Masturbation facial, Oral 69, fgode, pénétratio, fdanus, fsodo, jouet, jeu, attache, init, amourpass, couple,

    ... contempler dans la glace. Quand j’avais retiré ma jupe plissée, mon chemisier, et mes sous-vêtements d’un autre âge (un soutien-gorge particulièrement disgracieux et qui aplatissait tant qu’il pouvait mes seins), ce que je voyais dans le miroir ressemblait pourtant curieusement aux photos de magazine qu’il m’arrivait, si rarement, d’avoir sous les yeux. J’avais en effet un corps souple, ferme, non pas maigre mais mince, et surtout mes seins étaient pleins, ronds, haut perchés et en même temps extrêmement épanouis, avec des larges aréoles bien dessinées, plus sombres que ma peau claire, et aux pointes épaisses. Ils se tenaient droits au-dessus d’une taille très haute et fine, au nombril profondément creusé, et de hanches qui s’épanouissaient en amphore. Quant à mon entrejambe… Mon éducation m’avait bien entendu interdit d’explorer ce sexe qui n’existait pour ainsi dire pas pour moi, et ne réagissait jamais. Mais je ne pouvais pas ne pas remarquer que sous mon ventre plat, un triangle de poils légèrement bruns, peu fournis, semblait indiquer comme une direction à suivre… Si je me retournais devant ma psyché, mon dos semblait continuer ce genre de promesses : le long de ma colonne vertébrale, un long sillon profond semblait venir se perdre en haut de mes hanches – et mes fesses, fermes, tendues, bien arrondies au-dessus de cuisses rondes à la peau douce, étaient elles aussi parcourues d’une longue fente… Je me sentais évidemment coupable, quand je me regardais ainsi longuement ...
    ... dans la glace. Je me dépêchais alors de remettre les vêtements qui dissimulaient un corps pareil, qui me semblait le comble du péché alors qu’il n’était qu’une invitation à la volupté, et je me rendais chez les soirées organisées par mes cousines, où l’on m’accueillait, je le sentais bien, un peu par pitié : je semblais si gourde ! Je ne parlais à aucun garçon (ma mère y veillait), je ne dansais pas, ne buvais jamais d’alcool et, pire que tout, je méprisais sincèrement celles qui semblaient prendre plaisir à la compagnie des hommes. Et pourtant, ce fut à une de ces soirées où je m’ennuyais d’habitude si fortement, et en méprisant ce que j’y voyais, que j’ai rencontré mon futur mari. Je me marie Ma mère, qui me chaperonnait toujours, avait semblé un peu contrariée ce soir-là en apprenant que, lors d’une soirée organisée par ma cousine X, un certain Vladim allait venir. Il faut dire que ce dernier avait une réputation si épouvantable que même moi, à qui l’on ne racontait jamais rien, j’en avais entendu parler. Il paraissait que les femmes ne lui refusaient rien… Ma mère me recommanda donc de me méfier même si, célibataire et extrêmement riche, il était considéré comme « un beau parti ». Et à voir comment les jeunes filles qui étaient là ce soir se tortillaient devant lui, cherchaient à capter son attention, il était évident que ce Vladim était l’objet de tous les désirs. Oh, j’étais bien sûre qu’il ne me regarderait même pas – j’étais habillée d’une sorte de chemisier en toile ...
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