Un amour si intense
Datte: 11/07/2017,
Catégories:
hh,
hagé,
jeunes,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
hféminisé,
Oral
hsodo,
init,
... s’agenouilla devant moi et baissa le pantalon. Je levai les pieds pour le laisser me déshabiller et me retrouvai vêtu de mes seuls dessous féminins. — Tu t’es épilé ! s’exclama-t-il.— Oui… pour toi, mon amour… Toujours agenouillé, il couvrit mes jambes de baisers. — Comme c’est doux, reprit-il. Te voilà une vraie petite femme, maintenant !— Pas tout à fait, dis-je en riant, j’ai encore l’essentiel. Je caressai alors mon sexe à travers le satin noir, ce qui me soulagea un peu, car depuis un moment, j’avais envie de toucher mon sexe devenu douloureux à force d’être comprimé. Robert écarta ma main et m’embrassa le sexe à travers le fin tissu tout en me caressant les fesses. Je me laissais faire avec plaisir tout en caressant ses cheveux. Il se releva pour un nouveau baiser. Je continuai à lui caresser les cheveux. J’adorais ça, passer et repasser mes mains dans ses boucles blondes. — Comme tu es beau ! lui dis-je quand il eut libéré ma bouche.— Tu es trop gentil, mon chéri !— Si, je t’assure ! Et j’adore tes cheveux ! J’aimerais avoir des cheveux aussi longs, je vais laisser pousser les miens…— Mmm… avec tes cheveux fins aussi longs que les miens, tu seras encore plus craquant !— Parce que je suis craquant ? dis-je en minaudant comme une jeune fille.— Oh oui ! Tu ne peux pas savoir… Tout excité, je m’agenouillai devant lui et entrepris de lui enlever son jean. Dans la foulée, je lui retirai son slip et libérai son sexe bandé. J’en avais envie depuis une semaine ! Je me mis à le ...
... lécher avec avidité. Ce fut son tour de me caresser les cheveux et la sensation de ces longs doigts me caressant la tête augmentait mon plaisir. J’étais de plus en plus excité. Me relevant, je l’entraînai vers le lit : — Robert, j’ai envie de toi, faisons l’amour !— Oui, mon Loulou, tu veux de nouveau être ma petite femme ?— Oui, mon chéri, je suis ta petite femme, ta petite Louisette, prends-moi, mon amour ! J’enlevai ma petite culotte et m’étendis sur le dos, les jambes écartées, pour pouvoir bien le voir en train de me faire l’amour. À mon grand regret, il enleva sa chemise, puis me prépara comme la dernière fois et me pénétra avec sa douceur habituelle. Ma rondelle était brûlante de désir et j’étais tellement excité que je ne sentis aucune douleur. D’emblée, je fus envahi de ce plaisir merveilleux d’être pénétré par mon amoureux. Dès le début du va-et-vient, je fus secoué d’un spasme de jouissance et projetai un jet de semence sur ma poitrine, quelques gouttes aspergeant le soutien-gorge. Plus expérimenté que moi, Robert avait maîtrisé son excitation et me fit l’amour longtemps. J’avais déjà joui, mais je ressentais un plaisir particulier à le sentir en moi, en sentir ce membre viril glisser dans mes entrailles. Enfin, il fut secoué par un violent orgasme, et râlant de plaisir, s’affala sur moi. Je l’étreignis de toutes mes forces en couvrant son visage de baisers. — Louis, mon amour, me dit-il tout bas lorsqu’il eut repris son souffle, je t’adore… Tu ne peux pas savoir ...