1. Un amour si intense


    Datte: 11/07/2017, Catégories: hh, hagé, jeunes, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme hféminisé, Oral hsodo, init,

    ... ce que je t’adore…— Si, je le sais bien, parce que moi aussi je t’adore, mon chéri.— Alors si tu ressens la même chose que moi, c’est merveilleux.— Oui, Robert, je t’aime, je crois que tu es l’homme de ma vie, celui que j’ai attendu si longtemps…— Moi aussi, je t’aime, mon Loulou. Je crois que je ne pourrais plus me passer de toi.— Moi non plus, mon amour, je ne veux plus passer toute une semaine sans toi, c’est trop dur ! À ces mots, il interrompit ses caresses et se soulevant sur son coude, me regarda d’un air grave. — Tu veux dire… que tu veux…— Oui, je veux vivre avec toi, mon Bobby… Tu veux bien ?— Si je veux ? Vivre avec un garçon aussi merveilleux ? C’est un rêve !— C’est mon rêve également, alors c’est d’accord ?— Mais tes parents ? Que vont-ils dire ?— Ils vont râler, c’est sûr ! Mais après tout, je suis majeur, je fais ce que je veux. Au fait, qu’est-ce que tu as raconté à ma mère ? On dirait que tu l’as conquise ?— Ah ! s’esclaffa-t-il, ça t’intrigue, on dirait ?— Oui, dis-moi !— C’est simple, je l’ai baratinée, je lui ai parlé de ton avenir, que je pouvais t’aider pour tes études, de notre amitié ancienne, bref elle m’a invité à dîner !— Ah bon ? Tu vas venir dîner chez mes parents ? Mais je ne savais pas ! Quand ?— Samedi prochain. J’espère que tu seras là ! lança-t-il d’un ton espiègle.— Oui, bien sûr, idiot ! Je me jetai sur lui et le chatouillai traîtreusement. Il ne fut pas en reste et comme je suis très chatouilleux, il eut bien vite le dessus et me fit ...
    ... rire jusqu’à étouffer. Pour l’arrêter, je l’attirai contre moi et l’embrassai langoureusement. J’oubliai tout, le dîner chez mes parents, toutes les complications qui m’attendaient pour réaliser mon rêve de vivre avec Robert, tout ça. Il n’y avait plus que lui, son corps doux et puissant contre moi, ses caresses, ses baisers, mon amour… — Mmm… fit-il, on dirait que tu bandes à nouveau…— Oui, mon chéri, je t’ai dit que j’ai une semaine à rattraper… Je veux encore faire l’amour…— C’est un peu tôt… Tu m’as épuisé, mon amour…— J’ai envie… dis-je en frottant frénétiquement mon sexe contre le sien.— Oui, je vois, tu veux me prendre à ton tour ?— Ah… fis-je, pris au dépourvu, tu veux que je t’encule ?— Si tu veux, d’ailleurs, j’ai très envie de toi, encule-moi, ma Louise chérie… Ces mots redoublèrent mon excitation. Je glissai mon sexe entre ses cuisses en ondulant de plaisir. — Oui, mon amour, maintenant, c’est ta petite femme qui va t’enculer, tu vas voir comme je suis bonne…— Oui, prends-moi, ma petite chérie, j’ai envie de te sentir bien profond, encule-moi mon amour… Il me tendit le lubrifiant et me présenta sa rondelle. C’était la première fois que je la voyais et, contrairement à ce que je craignais, je ne ressentis aucun dégoût. Je l’embrassai avec amour, provoquant un soupir chez Robert. Enhardi, je me mis à lui lécher la rondelle, puis j’y enfonçai un doigt. J’étais de plus en plus excité. Je me décidai enfin à l’enduire généreusement de lubrifiant, avant de le pénétrer avec ...
«1...3456»