Ma femme offerte à des inconnus
Datte: 25/02/2018,
Catégories:
fhhh,
fépilée,
parking,
boitenuit,
voiture,
collection,
Masturbation
intermast,
facial,
Oral
nopéné,
uro,
... trouvant aucun intérêt. En me retournant, je vis qu’un autre mec s’était approché et commençait à peloter ma cochonne qui était en train de se revêtir. Nous décidâmes donc de partir au plus vite. Quelques mètres plus loin, elle me regarda et me lança : « cap ? », mais « de quoi ? ». Cette sacrée petite perverse visiblement chauffée à blanc me proposa… de retourner dans la boite sans se nettoyer ! La pensée de la voir à l’intérieur encore maculée du jus de ces inconnus sous le regard des autres m’excita de plus belle. Elle laissa son décolleté largement ouvert et nous retournâmes à l’intérieur ; il était à peine 5 heures et la boite ne fermait que deux heures plus tard. L’effet ne se fit pas attendre : les mecs ne la lâchaient pas du regard, se demandant si ce qu’ils voyaient était bien ce qu’ils pensaient être. Cette fois-là, nous restâmes à deux à danser. Au bout de cinq minutes, j’avais à nouveau relevé sa robe, découvrant son petit cul de moitié. Au bout de quinze minutes, un bon groupe d’hommes s’était agglutiné autour de nous, attendant sans doute une ouverture. Au bout de vingt, un nouveau loustic commençait à la coller. Je n’en croyais pas mes yeux : nous qui n’avions jamais abordé réellement la possibilité d’un tel plan, nous retrouvions au beau milieu de la foule, assaillis de tous côtés, ma belle affichant sur elle comme un trophée le plaisir de ces trois hommes. Cette pensée m’a fait me rendre compte de la valeur de notre complicité, de l’importance de la ...
... connaissance de l’autre, car l’alcool aidant, nous aurions facilement pu dépasser des limites mal fixées, mal comprises. Nous avons eu envie de nous retrouver à deux ; nous avions d’ailleurs totalement oublié nos amis ! Nous sommes donc repartis à notre voiture, bien décidés à « se finir ça à deux ». Nous nous sommes installés à l’arrière, sur la banquette ; sa robe a disparu et elle s’est retrouvée entièrement nue ; j’aime beaucoup la voir ainsi nue alors que je n’ai même pas retiré un seul vêtement. Je lui ai profondément léché la chatte ; elle était trempée comme jamais. En me relevant, j’ai vu un, puis deux visages à la fenêtre qui nous regardaient ; je reconnus notre inconnu qui avait tenté de se faufiler après les trois Espagnols lorsque nous étions encore à leur voiture. Nous nous sommes regardés : « rebelote ? » Elle s’est mise face à la fenêtre, porte fermée, afin de se masturber face à eux, les jambes largement écartées. Je sortis de la voiture, m’allumai une cigarette et fis le tour afin de leur parler. Ceux-ci étaient Français cette fois ; je leur demandai si ce qu’ils voyaient leur plaisait ; ils me répondirent que oui ; puis je leur proposai de la toucher à leur tour. Vu leurs têtes, je ne pensais pas qu’ils allaient refuser. Je fis signe à ma chérie qui s’empressa d’ouvrir la portière afin de s’assoir les jambes à l’extérieur ; elle était à peine installée que le plus jeune des deux plongeait la tête entre ses jambes. L’autre, qui devait bien avoir la cinquantaine bien ...