Ma femme offerte à des inconnus
Datte: 25/02/2018,
Catégories:
fhhh,
fépilée,
parking,
boitenuit,
voiture,
collection,
Masturbation
intermast,
facial,
Oral
nopéné,
uro,
... pesée, se mit à lui toucher les seins en se masturbant ; je pouvais sentir que son sexe dégageait une forte odeur d’urine ; je pensais qu’elle allait refuser sa verge en bouche, mais il n’en fut rien : elle la prit et la nettoya consciencieusement, aspirant le gland violet entre ses lèvres pincées. Celui qui s’affairait sur sa chatte se releva, mais cette fois-ci, elle le finit rapidement à la main. Le cinquantenaire ne cessait de marmonner, la traitant de « petite pute », de « garage à bites ». Il n’avait toujours pas joui ; je voyais sur le visage de ma chérie l’envie de faire durer encore un peu cette expérience qui ne se reproduirait peut-être jamais. Et pour la dernière fois de la soirée, elle prit une initiative dont je ne l’aurais pas crue capable : le plus vieux avait fait une pause, ne pouvant apparemment jouir sans uriner au préalable ; elle se leva de la voiture, passa devant lui qui s’était posté à quelques mètres et lui demanda… de lui uriner dessus ! C’est une pratique que nous avions déjà essayée, mais dans l’intimité de notre salle de bain ; là, elle passait des étapes à la volée ! Elle m’expliqua plus tard que le sentiment d’avoir été utilisée, voire souillée et bien sûr dominée, avait été l’élément déclencheur de cette situation ; la connaissant, je ne m’inquiétais pas pour elle, l’ayant toujours admirée pour sa capacité à assumer ses propres perversions, comme des éléments fondateurs de sa personnalité. Elle se posta à genoux à ses pieds, le fixant comme si ...
... tout dépendait de lui. Il fallut quelques instants à l’homme pour digérer cette proposition pour le moins inattendue ; le plus jeune me fixait comme s’il était évident que j’allais bondir pour tout arrêter. Je n’en fis rien. Le vieux ne tarda à se rasséréner, se décalotta et commença à se lâcher sur elle ; partout. Dans ses yeux, ses cheveux… Son aplomb m’impressionnait ; elle se tourna légèrement et me fixa d’un air de défiance ; je me serais cru dansSexus d’Henry Miller. Plus rien ne pouvait m’étonner ; je me rallumai une nouvelle cigarette et commençai lentement à extraire ma queue ; je vis le plus jeune se positionner et commencer lui aussi à l’asperger d’urine ; elle affrontait le jet bouche grande ouverte, toujours entièrement nue. J’avais tout de même l’appréhension de tomber sur une bande de mecs stupides avec qui la situation aurait pu dégénérer ; pourtant, je ne pouvais me détacher de son regard brouillé qui traduisait l’intense état d’excitation dans lequel elle se trouvait ; ce fut presque avec soulagement que je vis que derrière nous, nos amis espagnols nous avaient retrouvés. Je ne sais pas depuis combien de temps ils étaient là, mais à en croire leurs mines hallucinées, cela faisait suffisamment longtemps ! —Do you wanna use her ? Cette phrase est presque sortie naturellement ; je me faisais l’effet d’un maître dominateur dans son donjon ; c’était pourtant bien elle qui gérait la situation, qui déterminait les règles. Notre ami danseur n’a pas hésité longtemps ...