Merci à Revebebe
Datte: 26/02/2018,
Catégories:
f,
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Masturbation
Oral
69,
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revebebe,
... noms – heureusement assez peu nombreux – à la plume acide et définitive. Critiques au napalm : on ne condamne plus, on guillotine directement ! Le style, la crédibilité, les incohérences, la grammaire, la pauvreté du vocabulaire, trop de pornographie, pas assez d’érotisme, trop de longueurs, trop expéditif, les attaques personnelles, le manque de sexe, l’excès de sexe, la vulgarité, la niaiserie… On trouve tout et son contraire, la preuve que tous les goûts sont dans la nature, et qu’il est tellement plus facile de critiquer que de créer. Je cherche à savoir si ces critiques atrabilaires ont écrit quelque chose, histoire de me faire une impression, mais je ne suis pas suffisamment experte dans la navigation pour trouver un de leurs récits… J’ai la naïveté de croire que tout effort mérite récompense, même si on n’a pas le Goncourt ! Surtout si on n’a pas de Goncourt ! Je suis sûre qu’un encouragement qui accompagne un commentaire objectif est plus à même à déplacer les lignes qu’un lynchage cynique. Mais peut-être dis-je cela car le suis enseignante … Bref, ces critiques ont fini par me désexciter et je finis par m’endormir après m’être rafraîchie l’intimité… ________________________ Je croise Mireille le lendemain matin avant qu’elle entre dans sa classe de français. — Alors, mon site ? me demande-t-elle avec un air taquin.— Quel site ?— Tu as vu mon mail ? Avec tes poches noires sous les yeux, tu as dû passer une bonne nuit…— Non. Quel mail ?— Regarde ta messagerie et tu ...
... me diras… J’ai évité de justesse l’analyse de texte et entre confuse dans ma classe de sciences physiques. Durant toute la journée, je me surprends à avoir hâte de retrouver Revebebe et ses histoires incroyables. Suis-je en train de devenir accro ? ________________________ La maison est endormie, et je ressors la tablette. J’ai trouvé que je pouvais accéder à une sélection de récits par thèmes. Je suis attirée comme un papillon de nuit par un phare de voiture par « fhh » et « fhhh ». Je réalise que c’est sûrement un fantasme profond qui vient de s’exprimer. Je suis fascinée par cette jeune femme qui va se donner à deux garçons en regardant un film porno. Je suis complètement « prise » dans leur histoire ; je sens mes seins durcir, ma chatte gonfler et s’ouvrir. J’ai envie de prendre le sexe de mon mari, de le branler, de le sucer, de me l’enfoncer partout. Il est si proche, et pourtant si loin… Nos rapports sont quasi hebdomadaires et si prévisibles… Quand il n’est pas fatigué, c’est moi ! Et quand je suis par hasard excitée, monsieur a une grosse journée demain. Et pourtant, je l’aime… Je me surprends à apprécier les scènes explicites, torrides, brutales. Je prends conscience que je suis plus « porno » qu’« érotisme ». Je zappe sur un autre texte : une femme triste dans un train va allumer deux garçons et subir leurs assauts. Quand l’héroïne va légèrement écarter les jambes, je vais par mimétisme faire de même. Et quand elle va recevoir sa première bite, je ne trouve qu’un ...