Merci à Revebebe
Datte: 26/02/2018,
Catégories:
f,
fh,
revede,
Masturbation
Oral
69,
fdanus,
fsodo,
jeu,
confession,
revebebe,
... pourris !— J’ai vu ça, répond mon mari, et je ne l’ai pas encore ouvert.— Il y a le lien ; j’y vais. J’espère qu’il n’y a pas de virus. Je clique et j’arrive sur la page d’accueil. J’avais prémédité un peu mon coup et clique sur une histoire devant plaire à Michel. Plus jeune, il avait des tendances légères au voyeurisme, fasciné par les seins de sa tante. L’histoire est simple, crue, mais suffisamment explicite et progressive pour atteindre mon objectif : faire l’amour avec mon mari, en semaine. — Ouawww, c’est chaud ! lui dis-je.— Quoi, c’est chaud ?— Eh bien, ton ami François, il nous a sélectionné un site d’histoires érotiques. J’ai l’impression comme ça qu’il y en a des centaines, et celle sur laquelle je suis tombée, elle est – wouaw, comme dire – torride !— Vas-y, lis un peu, dit Michel qui s’est un peu redressé sur son oreiller. Je commence à lire. C’est l’histoire d’un jeune homme qui se retrouve seul avec sa tante qui fera tout pour l’allumer. Je lis lentement, doucement. La main de Michel a glissé sur ma cuisse. Il la malaxe mollement et remonte à la source. Un doigt se glisse entre mes lèvres. Je lis toujours. — Mais ça te fait de l’effet, me souffle-t-il, tu es déjà mouillée ! Je continue ma lecture. La fameuse tante a maintenant deux doigts dans la chatte, et le jeune homme bande comme un pur-sang. Les doigts de mon mari commencent à me fouiller, et j’écarte lentement les jambes. — Vas-y continue, ma chérie, tu lis bien ! Mon mari baisse le drap et je vois son ...
... sexe dur. Ses doigts vont et viennent dans ma grotte liquide et mon souffle s’accélère. La tante branle violemment la bite du jeune homme tandis que ce dernier a glissé un pouce mutin dans le cul de la femme offerte. Elle prend maintenant sa queue dans la bouche et la suce avec passion. Mon mari glisse un doigt dans mon anus et suspend son mouvement, attendant une réaction de refus de ma part, qui ne vient pas. Bien au contraire, je m’empale un peu plus sur ce petit pieu qui me brûle et me ravit. N’y tenant plus, mon mari se jette entre me jambes et aspire, lèche, broute, mordille, pénètre de sa langue mes deux orifices. Je pose ma tablette au sol et me contorsionne pour avaler sa queue fière qui me nargue. On se retrouve dans un 69 échevelé, comme aux meilleures heures de notre rencontre ; vingt ans déjà… Je jouis à plusieurs reprises de sa langue et de ses caresses et, dans une ultime contraction, il déverse un torrent de sperme dans ma bouche affamée. Il s’allonge à mes côtés, en sueur, un sourire extatique figé sur son beau visage d’homme. — C’était trop bon ! Tu me reliras une histoire demain ? J’avais gagné ! Ainsi, nous avons franchi un cap. Le soir, je lui lis une histoire que j’ai patiemment sélectionnée durant la journée, souvent aux toilettes, pendant la pause de midi. Notre sexualité n’a jamais été aussi épanouie. Le samedi après-midi, les enfants sont au catéchisme ainsi qu’à leur activité sportive et musicale. Avant, nous en profitions pour faire les courses. ...